La douleur

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* La douleur, c'est un sentiment particulier. Elle est à la fois la pire et la meilleur des leçons. Tout le monde a peur de souffrir pourtant tout le monde sait qu'il ne peut y réchapper dans une vie. Pourtant, c'est un sentiment particulier où on est entouré de douleur dans notre société. Des douleurs où on s'est adapté pour moins la ressentir. 


1. Qu'est-ce que représente la douleur ?

Selon moi, il existe quatre catégories de douleurs séparé en deux parties : son intensité et sa durée.

Son intensité représente à quelle point une douleur est-elle forte. Une douleur peut-être minime et parfois très grande. Par exemple, on ne ressent pas la même douleur lorsqu'on se fait gronder par son supérieur que lorsque vous apprenez la mort d'un être cher.

Ensuite, sa durée. Elle représente le temps que la douleur vous procure. Parfois, elle est courte comme le sentiment de honte quand vous agissez mal sans le remarquer ou bien, longue comme les regrets faite dans un temps révolu.

Si on suit cette logique, il existe alors quatre catégories : Une douleur rapide et minime; longue et grande; longue et minime et rapide et grande. 

Ces quatre catégories vous font réagir différemment en fonction, de votre personnalité, vos expériences et de la douleur engendrée.

Bien, maintenant nous allons voir un peu plus en détaille ces différentes catégories.

2. Une douleur rapide et minime :

Une douleur à la fois d'une intensité et d'une durée faible. C'est la douleur la plus présente dans nos vies physiquement ou moralement parlant. 

En-faite, on pourrait dire qu'elle est partout, lorsque vous vous piquez avec une aiguille en recousant un habit ou alors, qu'on vous bouscule lorsque vous prenez le bus.

Elle possède un caractère très particulière car, elle est directement liée à notre éducation, A force de les vivre vous devenez des habitués et vous y faite presque même plus attention. Regardons par exemple, la différence d'un enfant se faisant gronder ou bien, d'un adulte. L'adulte ne boudera pas ou ne se mettra pas en sanglots car, la personne s'est adapté au point, où il ne la remarque plus. 

L'Homme a cette capacité face à une douleur répétitive à simplement l'ignorer à un stade. Cela est encore plus étrange lorsque on remarque la différence à travers le temps où une douleur dite "habituelle" est devenu une simple douleur. Par exemple, une femme du 19° siècle être traité d'inférieur à l'homme était qu'une simple douleur devenu répétitive au point, que les femmes l'ignoraient. Retenter cette expérience avec une femme d'aujourd'hui et sa manière de réagir sera sûrement différente et plus dramatique.

Encore aujourd'hui, nous vivons avec cette douleur parfois obligatoire pour le bon usage de la société. Oui, sans la douleur procurée lors de la justice sur un criminel comment peut-on faire respecter l'ordre et les lois ?

3. Une douleur longue et grande :

A contradiction de la douleur vu précédemment, cette douleur est très rare et la plus horrible. Une douleur immense et qui reste ancré à l'intérieur de votre peau et de votre passé. 

Cette douleur est une des rares capables de vous anéantir moralement comme physiquement.

Il existe très peu d'actes pouvant venir à ce sentiment mais, il en existe : Avoir été violé, avoir vécu une violente guerre ou bien tuer par accident un être très cher.

Chacun de ces actes reviennent à un sentiment de culpabilité, de regret et parfois de haine envers soi-même.

La douleur est forte car, l'individu a souvent l'impression que il était responsable de ces drames. ( Le soldat à la guerre voit et tue des personnes sans distinction / La personne violée pense qu'elle aurait pu faire quelque chose / La personne tue par accident puis, regrette le plus profond de lui ).

Livre des penséesWhere stories live. Discover now