21. Accident.

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Nous arrivons ensuite à Paris. Ces merveilleuses journées étaient malheureusement finit.. J'avais passé trois jours rien qu'avec Jungkook, et maintenant je le verrai beaucoup moins souvent..
J'étais triste mais c'est comme ça. Jungkook me déposa devant mon immeuble et m'accompagna jusqu'à la porte de mon appartement.

Jungkook : « et voilà princesse. » avait-il dit en souriant.

T/p : « j'ai passé de super moment merci beaucoup. » avais-je dis en prenant sa tête entre mes mains.

Jungkook se contenta de sourire. Je déposa ensuite délicatement mes lèvres sur les siennes.

Jungkook reparta ensuite en bas et prena la voiture pour rentrer chez lui.

Quant à moi, j'entra dans mon appartement, j'étais étonné, mes parents étaient là.

Maman : « alors? C'était bien? »

T/p : « c'était super oui. » avais-je dis avec un grand sourire au lèvre.

Papa : « bon tant mieux alors. » avait-il répondu avec un clin d'oeil. « Il a l'aire vraiment gentil ce garçon. »

T/p : « oui il l'est ! » avais-je dis en pensant très fort à lui. « Comment ça se fait que vous êtes là? »

Maman : « on a eu un jour de congé. »

T/p : « ah cool, vous allez pouvoir vous reposez. »

Papa : « oui pour une fois. Ça fait du bien. »

Je leur lanca un sourire et parta ranger mes affaires dans ma chambre. En défaisant ma valise, je m'aperçois que Jungkook a oublié un sweat noir dans mes affaires. Je le pris dans mes mains et l'approcha de mon nez pour sentir son délicieux parfum. Je placa ensuite le sweat sur mon lit afin de ne pas oublier de lui rendre. Une fois toutes mes affaires rangés, je décide d'aller me promener un peu dans Paris.
Je descend de l'immeuble et m'avance dans les rues, il y a du monde.

Je continua ma petite promenade, quand tout à coup j'entend un crissement de pneu qui a l'aire très violant, au moment où je me retourne pour voir ce qu'il se passe, je me rend compte de ce qu'il se passe. La voiture était en train de foncer sur moi, je n'avais pas le temps de réagire, la voiture m'avais violement percutée.
Je ne comprenais pas ce qu'il s'était passé, en une fraction de seconde, j'étais allongé sur le sol, j'avais mal, tellement mal que je n'arrivais pas à savoir à quel endroit. Je n'avais pas la force de me relever, ni même de crier. J'entendis au bout de quelques minutes la sirene des pompiers, mes yeux étaient en train de se fermer. Le coma m'emporter peu à peu.

Aime moi...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant