___ 𝐗𝐀𝐍𝐀𝐗。♡

F I F T H

Special double update.
______________________
__________________
_____________
________
____
_

Je me réveille.
La première chose que je vois est le sol. Sol qui est rouge foncé. Le sang a sécher. Tout est lugubre autour de moi. Tout est vraiment glauque, que se soit le silence pesant, ou l'atmosphère, tout est sombre, glauque et malsain. Je me redresse avec tant bien que mal, les bras en compote. La douleur est tellement puissante que je sens même plus mes bras. Je jette un coup d'œil sur ces derniers et je peut aperçevoir qu'il est complètement meurtri, le sang sécher sur les plaies assez importante. La lame ensanglantée sur le sol dans la marre de sang. Je n'y était pas aller de main morte.

Je me relève, mon premier reflex est de saisir mon paquet de cigarette. Il faut juste que je décompresse un peu.

Je titube légèrement jusqu'à ma porte fenêtre menant au petit balcon.
J'ouvre la fenêtre et m'avance vers la barricade. Je pose mes bras sur la rembarde, je porte la cigarette à mes lèvres, je dirige mon briquet envers cette dernière, je dispose ma main devant cette dernière, j'allume mon briquet qui brûle directement l'enbout de la cigarette. Je prend une grande tiré sur le bétonner de tabac. Je recrache une énorme bouffer de fumée, recrachant mes peines en même temps. C'était ça ma liberté, oui. Sacrifié mes bras, prendre une clope, puis boire jusqu'à en perdre la tête. C'était la seule chose qui me rendais libre, bien et heureux.

Mais y a toujours cette douleur qui me rappel à l'ordre. Qui me dit à quel point je suis faible mais réel.

Je pose ma main sur mon cœur. C'est pas une douleur. C'est pire. C'est plus grave. Nan j'ai pas de maladie. Non. J'ai pire. C'est ma solitude qui me bouffe de l'intérieur. Et je suis vide. Je le suis maintenant. Elle a fini son travail. Je ne suis plus rien qu'un détritu de la Terre. Ceux qu'ils faut effacés, erronés.
Moi, Min Yoongi, 19 ans d'existence, violence parentale subis de 5 ans à mes 15 ans. Abus sexuels de ma tante. Je suis à présent une erreur pour de bon. Je n'ai jamais pu connaître la lumière du bonheur, sa magnifique lueur si éclatante comme la décrive les gens avec leurs grands sourires, leurs larmes de joies. J'ai la lueur de la peur, la haine et la tristesse qui m'épanouit chaques jours. J'ai beau supplier les dieux pour qu'ils cessent d'abattre tout ces malheurs. Mais on dirai que eux aussi également se fiche de ma personne. A vrai dire, au point où j'en suit, je ne vais plus chercher à comprendre quoi que ce soit. Je recrache la dernière fumée de ma clope. Je l'écrase et la jette dehors, je rentre chez moi puis regarde l'heure. Et merde. Je suis en retard pour le boulot. Je vais me faire tuer. J'attrape rapidement ma veste en cuir, enfile mes rangers, arrange mes cheveux menthe. Je vais les teindre en gris bientot. Je veux plus voir ce menthe qui dégorge sur ma décoloration.

J'arrive en trombe dans le bar, je m'incline pour m'excuser et en même temps dire bonsoir. J'enfile ma chemise noir, mon pentalon noir également. Oui, ceci est une tenue de travail. Je relève mes manches et vas au comptoir où je pus apercevoir Changbin en train de se farcir mon service de retard ainsi que le sien. Je viens à ses côtés.

« Laisse, c'est bon j'suis là maintenant.
— C'est que maintenant que tu arrive ? Eh bah putain ! Bouge ton cul de salope un peu dans la vie.  »

J'ai oublier de préciser que mes histoires se termine pas au lycée mais elle s'enchaîne au travail, et manque de chance, Changbin est un ami de Namjoon. La musique du bar. Je m'en passerai pas. Ils passent dans ces eaux là des titres de Lil Peep, rappeur que j'admire. Ses paroles m'emporte et m'empêche de me rappeler à quel point j'ai une vie de merde. Je remplis 2 shot de bières et les serres aux clients.

« Salope, y a un client pour toi.
— Ça va j'ai compris, je m'en charge...  »

Je vais vers un gamin à peine plus jeune que moi. Je m'attarde pas sur son visage.

« Vous désirez ?
— Euhm... Je vais prendre un cola s'il vous plaît...  »

Je reconnue cette voix, qui, ne serait pour personne, une fois qu'on la connais, un secret. Sa voix assez féminine avec des tonations masculines à certaines syllabes.
Je parle bien du merdeur de Jimin. Ce gosse qui veux gâcher ma vie au max.

« Jimin ? Qu'est-ce que tu fais ici ?!
— Hyung ! Bah je suis venu avec des amis, mais je n'aime pas trop les ambiances comme ça...
— Bah t'avais cas pas venir débile.
— Ils m'ont forcer.
— Qui ?
— Eux, il me pointe des hommes en train de draguer de jolies femmes.
— Bah pars, ils t'ont forcés à venir mais pas de rester.
— Si.
— Écoute, fais ce que tu veux, je m'en branle.  »

Je part pour lui prendre sa boisson, je lui met dans un verre, avec des glaçon, je fais les rebords du verre avec du sucre, je met une paille puis amène son verre.

« Tu me bois ça et tu pars.
— Je peut pas je t'ai dit !
— Si tu peut, prend tes couilles et impose toi.
— J-Je peut plus...
— Tu peut plus ?
— I-Ils savent quelque chose sur moi et si ils le répète je suis mal...
— Ok cool ta vie.
— Tu m'as poser la question !
— Je te demandais pas un roman, juste un oui ou un non.
— Alors je reformule, non je peut plus.
— Bref, paye.
— Combien ?
— 2,00€  »

Il sort son porte monnaie, puis sort la pièce et me la glisse sur le comptoir. Je la prend non gentilment. Je vais pour partir mais sa voix m'en empêche.

« J'ai une question !
— Quoi encore ?
— Pourquoi tu travaille ici ?
— C'est pas tes histoires, mêle toi de ton cul et après viens me parler.
— T'es irritable.
— Exactement  »

Je m'éloigne de lui pendant qu'il baissait la tête avec un soupire. Je continue mon service.

Je tourne ma tête vers le ou est Jimin, mais le tabouret est vide et son verre également. Je vais pour débarrasser le verre mais un mot est poser à coter.

“ Pense au fait que quelqu'un est là pour toi. Pour t'aider. A bras ouvert. Est prêt à te donner toutes ses forces pour t'aider. Ne l'oubli pas Yoongi.

JM”

Je soupire. Ce gamin n'abandonnera pas ? Je retire ma tenue pour remettre mes vêtements normaux.
Je sort du bâtiment, puis rentre chez moi.

Je fait que de penser au mot que Jimin a fait.
Dois-je oublier ?

À suivre...