"Mardi, 20 Décembre 2014.
Mes parents ne l'aimais pas...Et je ne comprenais pas pourquoi. Si seulement j'avais su. Son visage était tellement innocent. Il était blond au yeux brun. Des fossettes se creusaient lorsqu'il souriait...Il souriait toujours... Puis il avait cette manie de me téléphoner, souvent à des heures tardives, pour me souhaiter bonne nuit et s'assurer que tout allait bien. Je l'aimais tellement. Si j'avais su qu'il représentait le mal...
Nous nous étions rencontré tout à fait par hasard, du moins c'est ce que je pensais... Ce jours là, j'étais, comme tout les samedi de Décembre, assise à un table à l'intérieur du Starbuck de ma petite ville, bien occupée à siroter un café avec ma meilleur amie Ether. Ayant terminer mon café, je me suis et partis payé ma consommation. £3.65, comme chaque samedi après midi. Quand je me retournai, j'aperçus ma meilleur amie assise avec un jeune homme que, visiblement, je ne connaissais pas. C'étais lui... Je resta un moment à les observer, ne sachant pas trop quoi faire. Puis Ether fini par se lever de sa chaise et me rejoignis. Bien sur sens avoir oublier de saluer le jeune garçon et, au passage, lui sous-tirer son numéraux de téléphone.
Son nom résonne toujours dans ma tête.. Nate. Ce garçon était toute ma vie. Il avait toujours été la pour moi.. Il cachait bien son jeu. Jamais je ne l'aurais cru capable de faire autant de mal à une personne. Mais je l'aime tellement.
Trois mois se sont écouler depuis que tout s'est arrêter. Trois mois que je me demande où il est, ce qu'il fait. Trois mois où je n'ai plus aucune nouvelle de lui.
Et au tour de moi, j'entend toutes ces personnes le critiquer. Dire tellement de mal sur lui. Tout le monde se soucie de sont sort, de ce qu'il lui est arriver après, sans même bien vouloir me le dire. Et ça me détruit. Mais je ne peu rien dire. Personne ne comprendrait.
La vérité c'est que ça fait mal, alors on ment.
Mon corps me fait toujours autant souffrir. Mes pensées sont toujours entée par ses horribles actes. Jamais je ne m'en remettrais. Mais je ne lui en veux pas.."
"Azhaléa..T'es sur que ça?"
Le jeune fille était assise par terre, les genoux plaqués sur sa poitrine. Elle n'allait pas bien. Mais personne n'y faisait attention. Elle meurt de l'interieur. Depuis les faites, ses parents ne veulent plus la laisser sortir. "C'est trop dangereux ma chérie". Voilà ce qu'il lui répaite à chaque fois qu'elle ouvrait la porte menant à l'extrérieur de la maison. Elle était enfermée chez elle, et elle n'en pouvait plus. Alors chaque jours, elle faisait la même chose. Elle passait ses journée couchée sur son lit, à se remémorer chaque moment passer avec Nate.
"Bonjour, moi c'est Nate, mais tu peux m'appeler ton sauveur."
C'est à ce moment que tout commença réellement. C'était un Mardi. Il pleuvait. Azhaléa attendait son bus. Ses longs cheveux bruns commençaient tout doucement à crolé du à l'humiditée de l'air. Son nez était rouge et elle mourrait vraiment de froid. Mais elle attendait calmement....Et son bus passa, mais ne s'arrêta pas. Et pour rendre les choses encore pire, il passa trop près de trottoir et roula dans une flaque d'eau. Azhaléa était trampé, son parapluie ne lui avait servis à rien. C'est alors qu'une moto noire s'arrêta devant elle. Le garçon enleva sont casque, et, c'est à ce moment la qu'elle le vit de face pour la toute première fois. Et elle le reconnu directement. Il avait le même pull que la première fois où elle l'a vu. Elle pu distinguer chaque parcelles de son visage. Il avait les traits fins. De fines lèvre roses, des petits yeux marrons, un nez ni trop grand, ni trop petit. Et de magnifiques dents blanches. Oui, il était beau.
"Je te ramène chez toi princesse?"
Et ces sans ésiter qu'elle monta derière le jeune homme. La moto démarra, elle était serré contre le corps de Nate, elle pouvait sentir son odeur. Et qu'est ce qu'il sentait bon. Elle avait l'impression que le temps s'était arrêter. Il n'y avait plus qu'eux deux sur terre. Et sans ne savoir vraiment pourquoi, elle aurait voulu que ça ne s'arrête jamais. Mais toutes les bonnes choses ont une fin. La moto s'était stopper devant la maison d'Azhaléa. Elle descendit et rendit son les casque à Nate.
"Comment savais-tu où j'habite?"
Si, à se moment la, l'adolescente avait sus que ça faisait des mois qu'il l'observait en cachette... Si elle avait sus qu'en acceptant qu'il la ramène chez elle, toute ça vie allait basculer... Mais était-ce peux-être le destin? Ces deux être était peux-être malgré tout, lié par le destin. Pourquoi Nate voulait-il Azhaléa? Pourquoi Azhaléa était-elle aussi attirer par Nate?
Le garçon fit pris de court. Il n'avait pas pensé à ça. Il ne pouvait pas lui dire qu'il la suivait depuis un certains temps, elle aurait pris peur. Et il ne voulait pas qu'elle le craigne. Car, il faut le dire, elle avait quelques choses qui l'attirait fortement. Peux être était-ce ses grand yeux vert ou ses lèvres pulpeuse qui paraissait si douce. Ou bien peux être son innocence. Azhaléa avait toujours cette air enfantin dans ça façon d'agire, de parler. Puis ça timidité, elle était une fille extrèmement timide, malgré ses 16 ans. En faite, je pense qu'il aimait tout chez elle. Alors il se mit a bagayé. Que pouvait-il bien lui dire?
"Je...Je suis désolé mais il faut vraiment que j'y aie.
Et c'est ainsi qu'il partis, sans même avoir donné un semblant de réponse.
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stockholm syndrome
RomanceNe vous fier pas au apparence. Derrière un visage innocent peut se trouer le mal.