Le Puit

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Un jeune homme appelé Jharias parcourais la ville d'un pas pressé, son visage était caché en dessous d'une longue capuche, ses habits étais usés et il avait de pauvres chaussures trouées.
La pluie descendait sur lui et sur le sol de manière lourde et bruyante, ses pauvres vêtements et son corps frêle furent bientôt trempé.

L'homme grelottant s'engouffra dans une épicerie pour se protéger de la pluie pressante, il avança dans un rayon isolé et fit bien attention de ne pas être dans l'angle des caméras, et enfin retira sa capuche, il dévoila une peau grise clair parsemé de quelques hématome violet donnant a sont visage sale l'aire d'une peinture de galaxy rater, ainsi qu'une chevelure turquoise et indomptable rappelant les vagues d'un océan agité.

Il essaya de sécher sa capuche en la tordant dans tous les sens dans le but de l'essorer.
L'eau contenue dans cette dernière tombais au sol et le Devialb ne semblais avoir aucun état d'âme pour les personnes qui seront contraintes de nettoyer la flaque d'eau laissée par cet essorage impromptu.

Outre sa capuche ses habits collés à sa peau lui donnant une impression désagréable, sa race les Devialbs détester sentir leur vêtement, c'est pour cela qu'il portait des habit large et flottant. On raconte que sur leur planète, ils vivaient essentiellement dévêtus, mais malgré la gêne il était calme et la pluie ayant cessé, il se dirigea vers la sortie de l'épicerie, il avait évidemment pris le soin de remettre ça capuche, mais...

devant la porte le pied déjà hors de l'épicerie, il se figea, un cri venait d'être poussé dans le magasin.

C'était un cri de femme, il provenait du fond de l'enseigne au niveau du rayon surgelée il était strident vif et traduisez une grande douleur presque insupportable. Curieux et piqué par la curiosité. Jharias se dirigea discrètement vers le fond du magasin.

En s'approchant, il réussit vite apercevoir la femme elle avait l'air sale pauvre misérable ses longs cheveux noirs étais gras mal couper son visage cerné cependant à part la poussière et la maigreur de son corps ne présentait aucun hématome ce qui étais pourtant rare Jharias le savais, même en étant humain, il était dangereux de sortir de chez soit et presque impossible de revenir sain et sauf, ce curieux constat eu pour résultat d'intriguer le Devialb.

Il regardait davantage, et la femme se remit à crier, hurler, baver, parler dans une transe a casser les oreilles au personne présente dans le magasin.

- TU NE PEUX PAS ME LA PRENDRE, ELLE EST À MOI, J'EN AI BESOIN ! Jharias pensa d'abord avoir affaire à une folle comme on en croise beaucoup ici-bas. Mais en s'approchant davantage, il remarqua, il y avait une personne devant elle et on pouvait distinguer une ombre imposante, grande, noire, terrifiante.

Et même sans l'apercevoir le Devialb le senti, il s'agissait d'un démon, un imposant démons, un puissant, très puissant. Jharias ne put s'empêcher d'avancer comme irrésistiblement attiré par cette ombre, il voulait savoir à quoi ressemblais ce démon, et la raison des cri de cette femme pourquoi crier elle autant ? Et sans réfléchir, il s'approchait mettant indéniablement sa vie en danger, mais a cet instant cela ne semblais pas compter.

Puis a force de s'approcher, il l'aperçut il s'agissait d'un immense démon des temples, son espèce embrassée le plus souvent, une profession de moine, mais dans le cas du démon devant lui cela n'avait pas l'air d'être le cas il étais bien trop imposant et terrifiant pour être moine, sa peau était d'une couleur cuivre des circuits de rune éclairée le parcourait lui donnant un aire dangereusement magique sur son crâne trônait deux cornes qui semblaient aussi dures que la pierre son regard était une couleur ocre foncée et il possédait une longue queue de la même couleur, de longs cheveux noirs descendait sur ses épaule et une mine froide étais figée sur son visage, et rien qu'a le regardait Jharias avait la chair de poule.