Je t'attendais jusqu'au printemps
Pour t'exposer ces monuments
Puisque c'est avenant moment
De prouver les sentiments
Qui étaient camouflés
Par un silence briséJe t'apportais tout cet amour
Que je t'ai fait aux alentours
De la ville Fribourg
Mais, tu es toujours restée un vautour
Qui chassait sa proie
Dans le pays du boisJe t'ai donné mon cœur
Dans le but de t'éviter le malheur
Qui t'engendrait cette aigreur
Et à l'échec du bonheur
Malgre ton éloignement
Que tu as voulu malhonnêtementJe serai à tes côtés
Pour fixer mes yeux sur ta beauté
Qui éblouit mon bien-être, ma personnalité
Mais, ton défaut a des différentes quantités
Qui ne sont guère compréhensibles
Et tes mots sont perpétuellement contemptibles
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L'AMOUR Sans Cesse
PoetryL'amour fut pour moi un enfant Qui parle tout doucement Afin de ne pas déranger ses parents Qui s'endorment auprès de lui dorénavant. Aimer avait une valeur Qui, décollait au fond de mon cœur Qui ne trâchait du bonheur par d'ailleurs Que s'en...