Le tombeau blanc

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Mes larmes n'ont cessées de coulées

Je ne puis retrouver ton doux sourire,

Il est resté gravé seulement dans mes souvenirs

Depuis ton départ, dons mon cœur fut peiné


La faucheuse est alors descendue

A pris la reine de mes journées

Pour avoir avec la vie trop jouée

Dans l'au-delà, ces êtres pur de toi on voulut


Ton enveloppe aujourd'hui, gisant à mes pieds

Le paysage se trouble de mes larmes

Mon cœur pleur comme nus et sans armes

À jamais te voilà dans une boîte de marbre enfermée.


G.BERGEOT

Le tombeau blancWhere stories live. Discover now