Mon père rentrais à la maison à son tour, il était vêtu d'un anorak en fourrure. Il faisait si froid dehors et il avais tellement faim
- Regarde papa ce que j'ai préparer
Une bonne tarte aux framboises, j'ai l'âge pour vous aidez maintenant. Mon père s'exclama :- Oh ma fille ta tarte à l'air très appétissante ! nous allons nous régalez, mettons nous à table.- Oui je vais allez chercher les assiettes à dessert, j'avança devant un meuble très abîmé en bois avec pleins de poussières dessus. Je pris une chaise et monta dessus pour prendre les assiettes je les essuya elles étais remplies de poussière et je pris également les petites cuillères.
Je les disposa sur la table
papa découpa la tarte et la disposa dans les assiettes, je pris une bouchée et la mâcha lentement je savourais cette instant, j'avais tellement faim. Mes parents prirent la parole en même temps.- Nous aimons beaucoup ta fabuleuse tarte ma fille tu l'as réussie, nous sommes si fière de toi. J'étais si heureuse qu'elle leurs plaisent je les remercia. À partir de maintenant je préparerai à manger et vous pourrez vous reposez, vous avez assez galérer comme ça.
Dorénavant j'irais chaque jour chercher de quoi manger, et j'irais moi même à la ferme d'à côté. Je mettrai également des petites annonces pour nous faire gagner un peu d'argents. Je faisais une bise à mes parents et leurs dis à demain, j'avançais jusqu'à ma chambre. Elle étais d'un noir profond les murs étais en pierre avec des trous un peu partout, une lumière si faible.
Un lit si petit, un édredon en patchwork, et une petite étagère avec quelques livres très abîmée remplie de poussière, et une fenêtre si petite. J'enfilais mon pyjama deux pièces et déposa mes savates au pied du lit et me coucha j'appuya sur l'interrupteur et il faisait tous noir la lumière étais éteinte et je ferma les yeux.
YOU ARE READING
La vie de Nathalie
Non-FictionNathalie âgé de 18 ans , vivais dans un petit village non loin d'une montagne . Ses parents n'avais pas tellement d'argents, ils étaient très pauvres et n'avais eu qu'une seule fille. Ils devaient faire tous leurs possible pour la rendre heureuse...