Suite à cette discussion, Cassandre ferma la porte et descendit pour finaliser le rangement de sa valise. Quelque minute plus tard, Tom ouvrit la porte de la chambre d'Eliott et se tint à l'entré sans avancer plus. Il s'adossa, dos à la porte, puis parla.
"Hey connard, j'ai entendus la conversation que tu as eu avec ma mère, n'ose jamais l'appeler maman que ce soit clair. Tu ne la mérite pas sale monstre. Oh et en passant, si un jour tu ose dire un mot de ce que je fait à l'un de mes deux parents ou à n'importe quel adulte, je m'assurerais personnellement que tu ne te relève plus.Sur ce, bonne soirée."
Une fois son discourt finit, Tom sortit et referma la porte. Eliott lui, regarder le sol d'un regard vide. Soudain une douleur aiguë le traversa et un cri déchirant sortit de sa gorge. Alarmé, les deux adultes de cette maison se rendirent en courant jusqu'à la chambre d'Eliott. La scène qu'ils virent leur coupa le souffle. Leur enfant adoptif, allongé sur le sol, se tenant le ventre et toussant d'énormes pétale de fleurs accompagné de taches de sang.
Cassandre ne put s'empêcher, à son tour, de pousser un cri. Eric, le père, courut jusqu'au corps du jeune garçon souffrant.
Intrigué par tous ses cris, Tom retourna vers l'endroit d'où provenait les cris.
Plus il se rapprocher, plus la scène était déchirante. Il vit en premier sa mère inonder de larmes puis il vit son père agenouiller au coté d'Eliott, entouré d'étrange pétale de fleurs et de sang.
Dès que Tom reprit ses esprits, il courut vers le téléphone d'Eliott qui était sur son lit, car il n'avait pas le sien, puis il s'empressa de contacter le samu.
Tous ce passa très vite. Les lumières vives bleu et rouge qui aveuglé les faibles yeux d'Eliott, son corps porté sur le lit d'hôpital puis plus rien. Le néant complet.
Le jeune garçon se réveilla aux son des machines de soin. Autour de lui se trouvait toute sa famille adoptive et un médecin portant un air triste sur son visage.
-Bien, maintenant que vous vous êtes réveiller et que les effets de anesthésie ne marche plus, nous allons pouvoir parler de ce qu'il vous arrive. Je suppose que vous êtes déjà aller voir un médecin auparavant Eliott ?
-Oui.
-C'est bien ce que je pensais. Vu les regards étonné de votre famille d'accueil, vous ne leur en avait pas parler. Je suppose d'ailleurs que vous ne comptiez pas le faire, même dans les jours qui suivent. Bon, Monsieur, Madame, votre enfant adoptif souffre de la maladie rare nommé 'Hanahaki'. Il s'agit d'une maladie ou le patient atteint aime une personne à sens unique. Seulement, ce sentiment est tellement fort que son cœur et ses poumons se retrouve emprisonné dans une cage de fleur qui pousse dans sa cage thoracique. Pour faire plus simple, des roses poussent dans son corps et lorsqu'elles auront bouchée toutes les voix respiratoires, Eliott mourra.
-Oh mon dieu... Eliott... Pourquoi ne nous as tu rien dit ?
-Cassandre...
-Heureusement, il existe plusieurs moyens de soigner cette maladie. La première consiste à simplement avouer ses sentiments à la personne aimer et il faut que cette personne corresponde à vos sentiment. La seconde est une opération chirurgicale. Je suppose que vous avez déjà fait votre choix Eliott ?
-Oui. Je ne ferais pas d'opération.
-Mais, mon enfant, es tu sûr que la personne que tu aimes t'aimes elle aussi en retour ?
-Non au contraire. Je sais que cette personne ne m'aime pas. Mais je refuse de faire l'opération car cela signifierait ne plus jamais ressentir le sentiment de l'amour.
-Mais, tu vas mourir ! Je refuse ton choix ! Tu es mon fils. Tu dois avoir mon accord temps que tu n'es pas encore majeur.
-Je vous arrête là madame. Ce choix n'appartient qu'à lui contrairement au autres maladie. Autrement dit, le seul qui puisse faire un choix ici est Eliott.
-...
Une fois qu'ils eurent l'autorisation, ils rentrèrent chez eux. La mère et le père, toujours inquiet, demandèrent si il souhaiter qu'ils annulent leur voyage mais Eliott refusa. Cela ferait perdre de l'argent à la famille et il ne voulait pas être une problème.
Aussitôt que le soleil se coucha, ils allèrent tous dans leur chambre à coucher. Mais, cette nuit là, personne dans la maison ne ferma l'œil de la nuit.