Le big four à Poudlard année 1 à 7/ les souvenir de Grindelwald

Chapitre 1

Jack

-Bon Jack nous y voilà, le Poudlard Express ! Tu te sens prêt ?

Je me tourne vers mon oncle son regard est partagé entre la fierté et la crainte, mais il laisse entrevoir l'un de ses sourires timides qui me rassure à chaque fois qu'il me l'adresse. De mon côté j'étais vraiment excité à l'idée d'entré enfin dans la fameuse école de magie du Royaume-Unie. Mais en même temps à pars Elsa je ne connaissais personne de mon âge.

-Je suis prêt mon oncle ! J'essaierai de te rendre fier.

Pitch Black, l'un des meilleurs Aurors de sa génération, sourit en entendant ma phrase.

-Tu es la joie de notre famille Jack et rien ne pourrai être plus parfait, donc qu'importe la maison que l'ont attribut je serai fière de toi.

Il s'agenouille devant moi afin d'être à ma hauteur et ébouriffe un peu plus mes cheveux désordonner.

-Enfin évite quand même d'être un Poufsouffle, rajouta t'il avec un clin d'œil complice.

- Même pas en rêve ; appuyais-je.

Les moments que nous passions ensemble mon oncle et moi était rare à cause de son travail mais il veillait à toujours être là quand j'avais besoin du dernier membre de ma famille. Et aujourd'hui je sus une nouvelle fois qu'il m'aimait comme son propre fils.

Je pris donc ma valise et après une bonne inspiration je me décida à monter dans la magnifique locomotive, c'était sons compter sur les d'Arendelle qui mirent le grappin sur mon oncle, et leurs filles sur moi.

- Pitch mon vieil ami, comment vas-tu en cette merveilleuse journée, héla Lord Adgar ?

Malgré que le terme ami soit hautement exagéré, mon oncle fit bonne figure face à ce personnage très populaire dans le milieu politique, il serait même pressenti comme ministre de la magie, pour ma part je il ne m'inspire pas confiance pas plus que sa femme la dénommée Idun d'Arendelle. Je crois que mon oncle est du même avis, mais il ne m'en a jamais touché mots. Quant aux filles Arendelle, je les apprécies, surtout Elsa que je considère comme ma seul ami, sa jeune sœur Anna étant trop énergique à mon goût, mais néanmoins sympathique.

- Bonjour les frangines de l'enfer, comment allez-vous, demandais je ?

-Je suis un peu stressé, avoua Elsa.

- Bah pourquoi ? Vous avez trop de la chance moi je dois attendre encore un an avant d'y aller, dit-elle en tirant la tête.

- Ne t'inquiète pas un an ça va passer vite et en plus je t'écrirai toute les semaine comme ça, ça sera comme si tu y étais en vrai, la rassura sa sœur.

Voir leur proximité, me rappela celle que j'avais avec ma sœur, mon regard s'attrista un instant. Elsa le remarqua et proposa qu'on s'en aille chercher des place dans les wagons. Après une dernière accolade à mon oncle. Moi ainsi que ma malle nous montons dans le wagon numéro 3. Alors que j'ouvrais la porte d'une cabine Elsa attrapa la manche droite de mon pull bleu canard, je me retourne et regarde mon ami avec un regard interrogateur.

-Qu'es ce qu'il y a ?

-Mon père m'a dit de sympathiser avec les filles de ses alliés politiques, elle se trouve dans le wagon 2, je vais devoir te laisser j'en suis navré.

Je lui embrasse le front avant de lui dire :

- Vas-y, je sais que tu n'as pas le choix mais un jour il faudra vraiment que tu dises merde à ton père.

Elle m'adresse un léger sourire avant de se retourner.

- Je sais flocon, en attendant tâche de te faire des amis, je ne serais pas toujours là pour toi, me dit-elle avant de disparaître derrière un groupe d'élève plus âgé.