Pardonne Moi... [Black Butler Fanfictions]

•° 1 °• paix a son âme..

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Elizabethe s'accrochait a la main que lui tenait sa sœur, comme si elle s'accrochait a la vie ne voulant pas tomber dans les épines tranchantes de la mort. Les deux avait voulue s'aventurer discrètement dans la foret sans que personne ne le sache, elles avait tout prévue : assez de nourriture pour tenir au moin une semaine au cas ou elles se perdait, de quoi produire du feu au cas ou elles aurait froid, de quoi se défendre si jamais par malheur elles croiser une bête sauvage et plein d'autre petites chose. La plus grande qui était avide d'aventure avait réussit a convaincre sa petite sœur de venir avec elle. Les deux sœurs ne comptait pas rester dans la foret plus d'une nuit pour éviter que l'on ne remarque leurs soudaine disparition.

Mais il a fallut que ça dégénère, il a fallut que que cette putain de jalousie maladifs qu'elle cachait tant bien que mal refasse surface, que Rosalina prise d'une pulsion pousse Elizabethe, que cette dernière glisse sur une pante... Maintenant un grand dilemme faisait face a la plus grande qui fixait la malheureuse. Les larmes au yeux elle la supplier de l'aider, elle ne cessait de lui demander " pourquoi ?".

Mais sa décision était déjà prise...
"Tu ma tout volé...Je reprend ce qui m'appartient...on se retrouvera en enfer, je t'aime soeurette..." Lui avait-elle répondue d'un sourire triste et a la fois désoler.

leurs mains qui était scellée se lâche, les liens de leurs promesse sont rompue...Mais elle ne peut s'empêcher de sourire, de se sentir étrangement soulagé.

Rosalina contemple le corps de sa sœur qui c'était évanouit pendant sa chute percuter violemment le sole.
Son si beau visage, si parfait réduit en de la bouillie.

Rosalina se relève et dépoussière sa robe avant de prendre ses affaire et la bague de sa sœur quelle avait fait tomber avant de marcher en directions de la sortie de cette maudite foret la tête haute dans un silence de mort.
Le chant des oiseaux c'était arrêter, plus aucune créature de la foret ne parler.

Excepté

Le papillon qui l'observait de loin.

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