Le manoir ( En Pause)

Chapitre 1

J'échauffais mes chevilles et partis à petites  foulées . Les arbres qui défilaient, le vent frais du mois d'octobre qui me fouettais le visage , et les feuilles mortes qui se froissaient sous mes pieds, me donnais cette sensation de légèreté tant rechercher . La course a toujours été mon exutoire. Elle me permet de me détendre après une journée de travaille .

Travaillant comme assistante personnelle pour le patron du entreprise de journalisme appelée Lime corp, mes journées était assez charger. Je devais satisfaire Monsieur par touts les moyens même si cela admettait de faire de nombreuses heures supplémentaires ou de courir jusqu'au bout de la ville pour lui apporter un café. 

Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours voulu devenir une journaliste . J'ai même intégré le club de journalisme du lycée. Et après avoir obtenu mon bac, j'ai travaillé dur pour obtenir ma licence. Mais le monde du travaille est un monde rude et ,a défaut de devenir journaliste ,je me suis fait embauchée comme assistante. Pourtant je sais qu'un jour ,j'arriverais à réaliser mon rêve.

Sortant de ma rêverie , je salua une jeune femme qui promenait son chien. Il me semble l'avoir déjà croisé une ou deux fois.

Le vent se mit à souffler se qui fit virevolter quelques mèches de mes cheveux brins qui s'étais échappés de ma queue de cheval. En les replaçants derrière mes oreilles ,je remarqua un petit chemin caché par quelques arbres. Ma première penser fut que se chemin n'était pas la hier. C'était vraiment bizzard car je passais ici toute les semaines et je ne l'avais jamais remarqué. En fronçant les sourcils, je décidais de m'en rapprocher pour mieux regarder.

Après quelques foulées , je me retrouvais devant un sentier entouré d'arbres au couleurs les plus magnifiques les une que les autres. Des fleurs au couleurs éclatantes ornaient le sentier. Le soleil qui s'engouffrait dedans rendait tout cela encore plus beau. Les oiseaux chantaient et je crus même apercevoir une biche passée au loin. C'était merveilleux.

Je recommençais alors a courir mais en empruntant le nouveau  sentier sans me soucier d'ou il menait . Je retrouverais bien mon chemin plus tard.

J'admirais ce magnifique paysage et en me demandant pourquoi je ne l'avais pas aperçu plus tôt. Je ne me souciais plus du temps qui passais . Il pouvait très bien s'être écoulé une heure ou bien cinq minutes je m'en fichais totalement . J'étais bien . Je ne sentais plus la brise fraiche qui me rougissait les joues. C'était comme si tout mon être étais plongé dans un rêve éveillé.

Soudain , du brouillard commença à apparaître . Au début ,il était fin et il n'y en avait pas beaucoup mais plus je continuais de courir plus celui ci devenait épais et sombre. Bientôt ce fut comme si la nuit était tombée . Je n'y voyais plus rien. Je tenta d'allumer la lampe torche de mon téléphone mais celui ci afficha qu'il n'avait plus de batterie. Zut ,j'étais pourtant sur qu'il lui en restait au moins la moitié .

Je décidais donc de ralentir l'allure jusqu'à m'arrêter complètement. Je regarda autour de moi et je sentis la panique qui menaça de me submerger. Les arbres que l'on arrivaient à distinguer n'étaient plus feuillus et plein de couleurs , ils étaient sombres et sans feuilles . Les branches étaient crochus comme s' ils allaient vous attrapez et vous enfermer .

Le froid me saisi d'un coup et tellement violemment que je failli en tombé. Je claquais des dents et serrais mon manteau pour essayer de me réchauffé. Je ne pouvais appeler personne et décidais de continuer d'avancer et espérant finir par déboucher sur une route.

Après se qui me semblais une éternité , j'étais toujours au milieux de nul part et je commençais à perdre espoir. J'étais gelée, j'avais mal aux pieds et surtout j'avais peur. Je n'en pouvais plus.

A se moment , il me cru presque entendre un loup hurlé dans le lointain. C'était complètement fou car il n'y avait pas de loup dans la région. Soudain , j'entendis un deuxième hurlement qui me semblais atrocement plus proche que le premier. Mon sang se glaça et je n'osais plus bougée. J'étais complètement pétrifiée et mes muscles ne m'obéissaient plus.

Un autre hurlement me fit revenir a moi et je pris mes jambes a mon cou. Je courrais aussi vite que mes jambes glacés me le permettaient. Je faillis tomber à plusieurs reprise a cause des racines qui dépassaient.

Je sentais le loup se rapprocher mais j'avais trop peur me retourner et regarder. Je savais que je n'allais pas tenir encore très longtemps et qu'il allait me rattraper d'un minute à l'autre .

J'étais à bout de souffle quand soudain une paire d'yeux rouge apparu au loin devant moi . J'ai essayé de freiner mais mes pieds ce sont emmêlés et je tomba sur mes fesses. Les yeux rouges se rapprochais dangereusement  et je su que j'allais mourir , que le loup ou n'importe quelle bête soit telle , allait me dévorer.

Mais la bête se stoppa et après un court moment s'enfuit sans laisser de trace. Totalement sonner pour ne me relever , je restais assisse quelques minutes. De tout façon mes jambes tremblaient trop pour marcher. Le manque d'oxygène me fit comprendre que j'avais retenu ma respiration tout se temps et j'inspirais une grosse goulée d'air .

Je me releva difficilement et frotta mes fesses douloureuses du a la chute. Je regarda autour de moi pour bien vérifier que la bête était parti . Aucune trace d'elle mais je n'étais pas plus avancé car j'étais toujours perdu. 

En fessant un pas, je mis mes mains dans les poches de mon mentaux pour essayer de les réchauffer mais je sentie quelque chose de rugueux sous mes doigts.  Je sortis mon téléphone de ma poche et découvrit que l'écran était fracturé à plusieurs endroit . Super,  j'avais  du le cassé quand j'étais tomber. Je le remis à sa place maintenant inutile. Je regarda a nouveau autour de moi et inspira un bon coup . L'atmosphère était pesante et l'endroit pas du tout rassurant .

J'ai cru que j'étais sortie d'affaire  et je repris ma route quand ,tout d'un coup, le sol se mi à trembler.