-Chapitre 1-

83 8 3
                                    

L'histoire se commence avec une jeune prisonnière.

Seulement âgée d'une vingtaine d'année, la jeune femme s'était retrouvée derrière les barreaux par accident.

La raison ? Vous la découvriez au fil de l'histoire.

La prisonnière, était de nature joyeuse avant l'incident, elle aimait le monde et la vie, jusqu'à ce jour où tout à basculé.

On l'appelait la muette, c'était une habitude de la prison d'attribuer des surnoms aux détenues dites "étranges".

Elle tenait ce surnom du fait qu'elle ne parlait pas, elle n'avait jamais ouvert la bouche, ni lors de son arrivée, ni n'importe quel autre jour de son incarcération.

Mais elle avait une autre identité avant d'être appelé par ce surnom

Son nom ? An Yujin.

Elle était grande, plutôt jolie, et était même réclamé par les plus grandes lesbiennes de la prison.

Mais Yujin refusait, bien qu'elle ne parlait pas.

D'un autre côté, il avait une psychologue.

Tout aussi jeune que la prisonnière.

Elle travaillait dans le cabinet de sa mère, suivant sa vocation.

Sa mère était psychologue dans les prisons, c'est grâce à des personnes comme elle que le taux de suicide dans les prisons diminuait.

La jeune était à peine moins âgée que Yujin, mais était presque aussi grande qu'elle.

La jeune femme quant à elle, se nommait Jang Wonyoung.

Elle aimait suivre sa mère lors de ses visites à la prison, cela lui donnait une idée de son futur métier.

Ses amis la trouvaient étrange, comment pouvait-elle aimait écouter des psychopathes, des pédophiles ou bien encore des criminels.

Mais Wonyoung était du genre à ne pas écouter les mauvais commentaires, tant que sa mère la soutenait c'était le principal à ses yeux.

Sa mère était son icône, la Wonder-Woman de sa vie, depuis que son père les avaient laissé.

La mère de la jeune fille avait toujours réussi à s'occuper de sa fille, malgré son travail peu facile, à son emploi du temps chargé et ses visites imprévus lors de crises psychologiques des détenus.

Dans ces cas là, l'enfant accompagné sa mère, cela la rendait heureuse de voir des hommes ou des femmes retrouver le sourire grâce à sa maman.

Pour Wonyoung, sa maman était une magicienne capable de rendre le sourire à n'importe qui, et c'est ce qu'elle aimait dans la psychologie.

Le fait de faire parler ses personnes, puis qu'ils sortent en la remerciant et en souriant.

Wonyoung était fière de se dire psychologue.

Psychotic LoveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant