La semaine s'est écoulée, mes amis et moi on a une gueule de bois monstrueuse qui risque de durer encore longtemps, mais ça en valait vraiment la peine, on a passer la meilleure semaine de nos vies, ce sera une histoire qu'on racomptera à nos petits enfants. En ayant terminé de boucler nos valises, Sarah se rend compte que nous avons encore six heures à passer avant que l'avion ne nous ramène en France. On a décidé de profiter d'une plage, sans boire, juste pour bronzer et se baigner, histoire de pas s'ennuyer. On trouve la plage qui nous intéressait, étonnement il n'y avait pas grand mon, on était pourtant en pleine après midi. Tant mieux, ça nous faisait plus de place sur la plage. Donc le temps passe, on s'amuse tous les quatre. Nous nous étions mis d'accord pour s'arrêter une heure avant pour qu'on puisse aller tranquillement à l'aéroport. C'est au moment où nous traversons une avenue pleine de personnes qu'une alarme à retenti dans toute l'île. Le gérant de l'île a pris la parole "Chers utilisateurs de l'île, je vous prie de bien vouloir rester calme, nous avons reçu une avertissement de équipe de scientifiques qui travaillent sur l'île, une toxine extrêmement volatile est en train de s'épandre, veuillez vous diriger calmement vers l'hôtel de ville, il est suffisement spacieux pour tous vous accueillir, des militaires devrait arriver rapidement, en les attendant nous 1vons reçu l'ordre de confiner toutes les personnes présentes. ". Bien évidemment, suites à ces mots, la panique générale est arrivée assez vite, les gens couraient partout. Nous, comme nous étions véhiculés, il nous était impossible d'avancer sans blesser qui que ce soit. Seul problème, c'est que nous devions quitter le véhicule, mais si nous faisons ça, nos valises restaient aussi, il ne fallait pas qu'on s'encombre, Sarah ne semblait pas être tout à fait d'accord. Bon, après 10 minutes à hurler parce qu'elle ne voulait pas abandonner ses affaires, elle a finit par céder. Donc nous nous sommes mis à marcher rapidement en direction de l'hôtel de ville. Une fois arrivés, des policiers nous on accueillit, dirigés vers une section avec une bouteille d'eau et une couverture. Il y avais énormément de monde mais nous avions du mal à croire que tout les convives était présents. Plus qu'à attendre la fin du confinement