Dans un monde immobile j'ai l'impression de tourner en rond, j'ai des sueurs froides et je fais des cauchemars.
L'aspect n'a pas d'importance lorsque la réalité n'a pas de couleur ( les personnages ne seront que très peu décrits )
~il n'y a pas de réel commencement
Je transmets ce que ma mémoire me commande de croire
Mardi 17septembre
un soir d'hiver alors que je ne me réveillais pas depuis plus de deux semaines, je venais d'un coma artificiel ,•Comment j'en étais arrivé là ?
J'avais été vendue•par qui ?
Par mon frère, je me suis demandé ce que faisait ma mère pendant ce temps j'ai refusé de croire qu'elle y était pour quelque chose ...•pourquoi ?
Par pure haine , je n'avais que13ans à l'époqueDans mon village , ma famille faisait partie de la classe des guerriers
Mon frère étant plus âgé que moi de 5ans ne supportait pas d'être comparée à sa sœur meilleure pour la lutte ,il en avait nourri de la haine ,j'en épargne les détails
Lorsque les Baryak (acheteurs des jeunes filles)
Sont venus , il m'a vendu .Flashback
-s'il te plaît Azan, ne les laisse pas m'emmener
Je le suppliait et ces gens me tiraient
je t'en prie ,AAZAN tu es mon frère tu dois me protéger, je criais comme une folle
PENSE À MAMAN AZAN ,AAaahLes marchands : ferme là ! TAIS-TOI TU ENTENDS ?
-prenez tout ce qu'il y a d'elle , ça doit paraître comme un accident, son visage était blême je le voyais leur remettre mes pantoufles et mon lance-pierres,et prendre l'argent qu'il leur proposait sans la moindre once de pitié ,
On a dit que tu étais une guerrière accomplie ?
Lutte contre la vie , je le vis de retourner et partir vers sa caseUn des marchands : Lie qu'est-ce qu'on en fait ?
Le supposé Lie : il me prend par le menton , Et me torche car il était nuit
Elle est belle tiens , il y a beaucoup de choses qu'on pourrait en faire,sourire perversJe commençais à paniquer , à pleurer je voulais fuir , aller le plus loin possible mais mes pieds refusaient de répondre , ils me poussaient grâce aux cordés avec lesquels ils avaient liés mes mains ,
Je continuais cependant de regarder au loin vers ma case j'espérais qu'elle sorte une seule fois , je ne l'ai pas vu et avant même que je ne comprenne ils m'avaient mis dans leur pickup ,j'essayai de fuir le supposé lie me frappa la tête contre le vitre ,
Et avant que je me comprenne ,
petit à petit c'était le trou noir mais sa dernière phrase retentissait plus violemment dans ma tête que le coup que j'avais reçue :
« On a dit que tu étais une guerrière accomplie ?
Lutte contre la vie »
VOUS LISEZ
Psycho-love :le jour de nos adieux .
RomanceLa lumière est facile à aimer , montre moi ta partie sombre... peut-être que je t'aimerai sans jamais m'arrêter peut-être que tu te rendras compte que tout ceci est une illusion.