Chapitre 8

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 Quand le lieutenant oldman partie je me dirigeais vers l’appartement et j’attendais déjà les cris de mon père et ma belle – mère. Quand j’ouvris la porte  les deux étaient devant en se criant à la gueule. Je rentrais vite dans la chambre  de mes soeurs sans qu’il m’aperçoive vraiment. Mes sœurs jouais sans ce rendre compte vraiment ce qui ce passait alentour d’eux  en même temps elles  étaient habitué. Je pris un sac dans la garde-robe  et pris quelque vêtement propre et tout ce que j’aurais de besoins. Je pris mes écouteur  , la veste de Harry et surtout mon canif.

 Je sentie une pression sur mon bras et je vis lottie. Je lui souriais

 '' Tu vas encore partir ? "

 Je me mis à genoux pour être à son niveau

 ''Oui, pour un moments ''

 Je lui caressais les cheveux en lui souriant pour ne pas la faire paniquer des cries autour de nous.

 '' Tu ne vas pas nous emmener au parc hein ? ''

 '' Bientôt je te le promets ''

 Elle me sourie mais elle s’avait que je m’entais. J’attendis mon père frappé sur la porte des filles en criant comme un malade.

 ''  Un jour je ferais quel que chose de bien et tu seras fier de moi »

 Je lui mis mes écouteurs sur ses oreilles en montant le volume du son et donnais un baiser sur son front et des bises a lizzy et phoebe .

 Mon père rentrait dans la chambre

 '' Qu’es que tu as encore fais ?  il y a de la police partout . Sors d’ici ''

 ''Sa va je pars''  lui  dit-je de ton sec

 Je pris mon sac et avant de franchir la porte  je regardais une dernière fois la pièce. Je vis mes sœurs seul et mon père hors de lui.

 ''   Si jamais ils leur arrive quelque chose je reviendrais  ''

je le bousculais et partie de cette appartement .

Je sentais le tissu sous mes doigt, son odeur, sa présence et c’était insupportable. Tout ce qui restait de lui était sa veste que je tenais entre mes mains proche du feu que je tenais sur la plage. Je touchais encore le tissu de sa veste une dernière fois et je touchais un bout de papier dans sa poche  et vis son poème qu’il l’avait écrit et je pensais au miens quand il s’avait moqué.

 Je soufflais et mis la veste au feu.

Lui et moi sont comme les deux garçons mort.

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