Fayçal : Dépêche de récupérer ton truc au lieu de rester planter là ! À croire c'est lui qui va venir vers toi !
Je me retourne il était enfaite dans les escaliers derrière moi, j'en été sûr.
Je cours vers lui et je saute sur lui.
Moi : J'en été sûr ! J'en été sûr !
Fayçal : Arrête de me toucher je déteste le contact physique ! Dégage de là Yousr !!
Je me détache de lui.
Moi : Je n'avais rien à récupérer.
Il est déjà tout le temps grincheux mais je crois que ça l'avait énerver que je lui ai menti !
Fayçal : QUOI ? COMMENT ÇA TU N'AVAIS RIEN À RÉCUPERER ? TU PLAISANTES ?
Moi : Je voulais prendre le prochain..
Fayçal : Tu mens.
Je baisse le regard.
Moi : Si je t'assure !
Il lève mon menton.
Fayçal : Tu mens, je le sais.
Le prochain métro était déjà là.
Moi : T'as vu on a pas beaucoup patienter, c'était pas la peine de faire tout ce cinéma.
Fayçal : Des fois Yousr tu sais pas comment j'ai envie de t'assommer, t'es la seul qui arrive à m'énervé au point de vouloir te tuer.
Moi : Désolé haha !
Après 30 minute de trajet. On arrive enfin sur la colline avec le couché de soleil comme vu. Il s'assoit.
Moi : Fayçal ?
Fayçal : Quoi ?
Moi : Tu te rappel de ce parie qu'on avait fais ?
Fayçal : Quel parie ?
Moi : Si t'arrives à me faire pleurer tu gagnais et si j'arrivais à te faire rire je gagnais.
Fayçal : Et on gagnait quoi ?
Moi : Rien mais je vais inventer quelque chose là maintenant tout de suite, le perdant ramènera l'autre à la mer !
Fayçal : À la mer ?
Moi : Oui ! Je veux aller à la mer, mamie m'a dit que c'était salé je veux voir si c'est vraiment salé personnellement ça m'étonnerais !
Fayçal : Franchement Yousr, je le trouve bizarre ton parie, si je comprends bien pour que je gagne faut que je te fasse souffrir c'est ça ?
Moi : Pas souffrir mais pleurer !
Fayçal : Donc je dois quand même te faire du mal !
Moi : Oui en quelque sorte.
Fayçal : Nan mais t'es pas sérieuse j'espère, je veux pas te faire du mal !
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[3] Yousr- « Le Bonheur Est Une Illusion »
General Fiction𝙇𝙚 𝙥𝙡𝙪𝙨 𝙘𝙤𝙢𝙥𝙡𝙞𝙦𝙪𝙚́ 𝙣'𝙚𝙨𝙩 𝙥𝙖𝙨 𝙙'𝙚𝙨𝙥𝙚́𝙧𝙚𝙧 𝙢𝙖𝙞𝙨 𝙙'𝙖𝙘𝙘𝙚𝙥𝙩𝙚𝙧 𝙦𝙪𝙚 𝙘𝙚𝙧𝙩𝙖𝙞𝙣𝙚𝙨 𝙥𝙚𝙧𝙨𝙤𝙣𝙣𝙚𝙨 𝙣𝙚 𝙧𝙚𝙫𝙞𝙚𝙣𝙙𝙧𝙖𝙞𝙚𝙣𝙩 𝙟𝙖𝙢𝙖𝙞𝙨. 𝙀𝙩 𝙡𝙚 𝙥𝙡𝙪𝙨 𝙚𝙛𝙛𝙧𝙖𝙮𝙖𝙣𝙩 𝙣'𝙚𝙨𝙩 𝙥𝙖𝙨 𝙙'�...