chapitre 2

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Dans les rues d'Oxford, environ a 5heure du matin une jeune femme fesait son footing quotidien qui lui permettait de se détendre juste avant de commencer une bonne journée bien chargée comme elle les aimes. Passant devant l'école primaire de là où elle travaillait puis devant l'horphelina où elle passait tous les jours afin de voire les enfants mais aussi les bonnes soeurs qui s'y trouvaient continuant ainsi elle s'arrêta devant l'immense bibliographie se trouvant à côté de l'université où elle passait le plus clair de son temps. Pensant à l'avenir Rose soupira, en regardant a l'horizon . "Que me réserve mon destin, que vais-je  faire demain , serait je toujours seul",car oui , malgré quelle soit entouré que se soit par son travail ou ses activités Rose se sent terriblement seul et les gens qu'elle côtoyer tout les jours n'y changera rien.Regardant sa montre elle s'empressa de reprendre son chemin pour aller se préparer, et ainsi accueillir les 23 élèves constituant sa classe de CP.

1heure 30 plus tard.
Rose arriva devant l'école primaire, où des centaines d'enfants s'y trouvaient avec leurs parents, leurs soeurs leurs frères, chose qu'elle n'aura jamais, quelques choses attira son attention le proviseur se trouvait à l'entrée de l'école et semblait attendre quelqu'un ou quelque chose droit comme un piquet , mais se n'était pas le moment de s'attarder sur cela la cloche venait de sonné, Rose se dirigea vers l'entrée de l'école mais s'arrêta tout à, derrière elle une immense limousine noir venait de s'arrêter,le directeur quand à lui semblait à la fois excité et nerveux . Mais Rose détourna les yeux après tout ce n'était pas ses affaires et puis elle avait une classe et des élèves à s'occuper, et c'est tout en saluant les quelques élèves retardataires qu'elle croissait que notre chère institutrice continua son chemin.

De l'autre côté du portail,Jamal de l'intérieur de sa limousine n'avez pas perdu une miette du spectacle qui s'était déroulé devant lui , il n'avait pas quitté des yeux cette magnifique créature incarnant toute une beauté à elle seule, même s'il n'avait aperçu que ces long cheveux noirs notre chère Jamal était sûre d'une chose, que oui c'était elle, celle qui lui fallait car même de loin on pouvait ressentir toute la tendresse qu'elle dégager et de-plus la grâce avec laquelle elle exécutait chacun de ces mouvements n'était que arguments à sa délicatesse. Ho oui il était pressé de faire sa connaissance et il n'allait pas tardé à la faire.

L'ange du cheikhOù les histoires vivent. Découvrez maintenant