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Je suis tranquillement assise sur mon lit et fixe cette grande porte en fer qui m'empêche de sortir d'ici. Cela ne fait que deux semaines que je suis ici et même si les mur en béton rendant la pièce froide j'y suis pourtant bien. Ici c'est beaucoup plus confortable que la où j'ai toujours vécu.

Je regarde cette lourde porte être ouverte par un garde et celui-ci s'empresse de venir me menotté. Quoique menotté et un bien grand mot sachant qu'il me met une camisole, la même que l'on met au fous Allier disons plus couramment les psychopathes, et un de ses collègues arrive avec une longue chaîne qu'il fait passer tout autour de mon buste.

-Pas besoin d'en faire autant monsieurs les agents, dis-je en continuant de regarder droit devant moi.

-Tu a déjà réussi à te défaire avec de simples menottes et d'une camisole alors vaut mieu être prudent, répond l'un d'eux en serrant bien mes chaînes.

-Alors vous devriez savoir que de simplement y rajouter des chaînes ni changera pas grand chose.

-Ne t'inquiète pas on a prévu autre chose pour être sur que tu ne t'enfuis pas.

Il me fait avancer hors de ma cellule et le deuxième se met devant moi pour m'ouvrir la voie.
On passe différentes grilles sécurisée avant de s'arrêter dans le hall ou les visiteurs se rassemblent d'habitude pour voir les prisonniers.

-Tient y'a personne aujourd'hui ?

-On va pas prendre le risque que tu essaye de t'en prendre à eux.

-Voyons les innocents ne m'intéresse pas monsieur l'agent.

Il soupir et me dit de me la fermer puis on attend ici.

-On attend quoi au juste le déluge ?

Le guignols de derrière ne me répond pas alors j'en profite pour me rapprocher lentement vers celui qui est devant.

-Je te connais pas toi...

Mon souffle se répercute sur son cou et il sursaute en poussant un cri aigüe. Je ris de sa réaction et encore plus de sa tête lorsqu'il se retourne vers moi après s'être bien sur éloigner.
Celui de derrière presse son flingue dans le bas de mon dos.

-Cesse de faire peur au nouveau et avancez tout les deux, ton cortège est là.

Je souris et avance une fois que le nouveau de devant ai repris ses esprits.
En effet un cortège m'accueille avec plusieurs policier en tenu d'émeute et un camion blindé.

-Vous me faite honneur avec autant de mesure de sécurité.

-C'est ça....

Un policier me récupère et me fait monter dans le camion. Et même si la sécurité est au max on s'ennuie avec eux. Même pas un qui veu parler avec moi c'est nul.
Apres plusieurs minutes a m'ennuyer ferme le camion s'arrête et les portes s'ouvrent. On me fait rapidement descendre et ho joie de découvrir qu'il y a foule pour moi.

On me fait avancer mais je m'extirpe rapidement de mon cortège pour me planter devant les barrières qui retiennes tout ses gens.
Un mec qui est devant moi m'attrape le cou et me regarde en colère.

-Salope c'est toi qui a tuer mon frère et si ça n'aurais était que moi je serai venu te buter de moi-même !

Je ris sous son regard ahuris puis me calme.

-Tu es trop faible pauvre humain t'arriverai à rien me faire, tu es juste pathétique à vouloir me faire la peau alors que ton frère vendais des femmes.

Il essaye de me frapper mais j'esquive en me défaisant de son emprise sur mon coup part la même occasion.

-Et oui je me souviens de ton frère, je me souviens comment je l'ai tuer c'était une très belle oeuvre d'ailleurs a la fin. Je me souviens encore de ses cris lorsqu'il m'a supplié de le laisser en vie, c'était magnifique de le voir pleurer alors que je le torturer. D'ailleurs la police t'a t'il montrer les photos de son corps avec tout ses organes sorti, je m'était donner du mal a en faire un merveilleux tableau.

Je lui parle tout en souriant et essaye de continuer mon récit mais les flics de tout a l'heure viennent rapidement me chercher. Dommage j'en avais pas fini avec le monsieur.
Je marche jusqu'à devant le tribunal et regarde une dernière fois la foule. Tout ses gens qui crient de me voir en prison ou même morte et qui sont ici présent car j'ai a chacun au moin tuer un membre de leur famille. Ils sont d'ailleurs bien pathétiques avec leur pancarte à essayer de vouloir passer les nombreuses barrières et gardes qui les retients.

Je rentre dans le tribunal et va directement m'assoir derrière le bureau de l'accusée. Il n'y a aucun visiteur ici pour cause que mon procès ne tien en huit clos. Ils étaient obliger à cause de la foule mais tout ce qui se passe ici est quand même filmer et diffusé un partout en France.
Et oui je suis connue beaucoup même, donc la cour de justice n'eu d'autre choix que d'accepter les différentes caméras qui sont présentes.

Le juge tape avec son marteau sur son bureau et commence.

-Je suis le Juge Morisson et nous sommes ici aujourd'hui pour juger Mlle Alice Davidson plus connu sous le nom de Black Angel, âgé de 20 ans, pour le meurtre de plus de deux cent personnes.

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⏰ Dernière mise à jour : Apr 29, 2020 ⏰

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