Night

5 0 0
                                    

Un soir de Février
Notre chez nous plongé dans le noir. Il pleuvait des cordes,le tumulte à l'extérieur était si paradoxal à la quiétude et à la chaleur de chez nous.
On étaient là, enlacés étroitement et étendues dans notre large lit si douillet.
Un meuble si particulier, tant de fois il a accueillis nos corps endiablés, nos gémissements étouffés...ces délicieux cris que nous aimons tant, nos larmes aussi...oh !! Tant de larmes, étranges preuve de nos faiblesses...de notre sensibilité.
Il faisait froid;non, j'avais froid. Des courants d'air malins s'amusaient à refroidir mes orteils nus.
Elle dormait... J'aimais tant la regarder roupiller, cette grande flemmarde,elle était si paisible là, en dessous de moi.
Elle aimait que mon corps si fin la recouvre entièrement. Je la trouvais si belle...tendrement mes lèvres se posèrent sur les tiennes. Je sentis ses lèvres s'entrouvrir.
Mon amour ne dormait pas. Notre baiser s'approfondit délicatement puis devint rapidement plus avide, plus brusque,nos langues si chaudes s'emmelaient ...pourtant ,malgré nos souffles hachés, cette sensation d'insuffisance me brûlait, mon envie d'elle me brûlait.
Je me pressait contre son corps quand elle détacha ses lèvres des miennes... Mon cœur rata un bond et mes yeux s'arrondirent instantanément...elle le savait que comme une amoureuse mes yeux restaient clos pour savourer chaque tiers de son baiser... Elle rit doucement, elle aimait à me montrer à quel point j'étais faible, faible pour elle,frivole, avide...une âme légère. Je me sentis si conne, je baissa les yeux. Peut-être ne voulait elle pas que je la touche?... Elle n'adorait pas les contacts physiques, elle faisait tant d'efforts pour moi et moi j'appréciais ses efforts.
J'étais prête à me rendormir et juste profiter de sa présence là quand elle me tira avec facilité, une facilité agaçante qu'elle avait du fait de ma finesse. Elle me ramena à califourchon sur ses cuisses qu'elle ramenât ensuite vers son torse me faisant glisser des ses cuisses à ses hanches.
Elle aimait me voir rougir et me pincer la lèvre, elle me fixa ardemment un peu comme pour y lire ce que je voulais,ce que je ressentais... Elle fit glisser sa paume moite gauche de mes cuisses à mes fesses et de sa main droite , ramena mon visage déjà bien Rosi face au sien, sans mon autorisation mes lèvres s'entrouvrirent, mes iris fixant les siens ,offertes... Elle m'embrassa de nouveau, différemment, avec plus de douceur,de chaleur...ça ne lui ressemblait pas...mais j'aimais cette différence, alors bien vite je me laissa aller à l'embrasser tendrement, mes sens à l'affût, mon corps s'activant , mes mains se mirent à se balader de la naissance de son cou a ses seins, une petite escapade sur ses tétons, froids et endurcis, elle se tortilla et étouffa un gémissement, en embrassant sa chaire froide je sourit...évidemment que j'allais poursuivre...si belle était elle quand elle semblait avoir envie de me laisser faire.
Elle aggripa mes hanches et fît redescendre ses jambes... Mes doigts brûlants et avides caressaient... Effleurant à peine sa peau avec un douceur a faire fondre...mes doigts se baladaient sur son ventre...elle se tortillait, ses poils la rendait si à fleur de peau, elle était si chatouilleuse.
A ce moment là où mes doigts atteint son bas ventre,elle enfoncat un peu plus loin sa langue dans ma bouche...ce baiser, notre baiser devint si fougueux...elle me voulait plus proche,alors tout en avançant mes doigts vers son intimité j'approfondissait la danse de nos langues infatigables, elle se cambra et me mordit la lèvre ...
Était-ce douloureux? Peut-être, mais elle savait que mon corps vrillait d'autant plus quand elle me faisait mal...automatiquement, déliant nos langues,je lui mordit le lobe de l'oreille puis le cou et effleura son intimité de mes doigts brûlants, encore et encore et à chacune de mes caresses mon amour gémissait et se cambrait un peu plus.
Elle me voulait et cela suffit pour attiser mes envies, damnés mon âme et accentuer la fréquence des mes caresses.
Elle gémissait si bien...ma belle offerte, je m'insuniait en elle délicatement... Son souffle se coupa et mes lèvres reprirent leur assaut sur sa chaire ,ses lèvres....
Un peu plus en elle ...elle était humide et chaude, mon cœur battait. Cette fille je l'aimais, je l'aimais tellement qu'à chaque instant mon cœur battait à sa pensée.
Cette nuit là j'avais trouver un nouveau moyen de me réchauffer elle m'appartenait... Elle m'aimait et oui, oui pour une fois je l'avait ressenti.

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Mar 25, 2020 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

Fever...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant