Le Croque-mitaine & La jeune fille

Chp 7 : Le Viol Maternel

La mère entendit la sonnette sonné. Elle alla à la porte et vis du monde. Elle commis l'erreur d'ouvrir la porte, trop curieuse, car aussitôt les jeunes entra en forçant le passage.

La mère :"Qu'es que vous...!" une gifle vola sur sa joue, aussitôt des bras la maitrisairent et la déshabilla. Elle hurla pour prévenir sa fille. Mais un groupe alla à la recherche de sa fille.

Le premiers groupe étaient sur la mère et l'avait mis sur son lit. Ils l'attachérent sur le lit et le premier bondit sur elle pour la violée. Aussitôt, le lit grinca de façon régulière. La mère gémissait de dégoût et avait peur pour sa fille.

Ils montirent vers sa chambre et la virent sur son lit en chemise de nuit. Aurélie hurla mais ils la maitrisairent et la déshabilla pour la violée. En quelques secondes, ils l'avait métriser et se disposaient pour la prendre dans tout les sens comme sa maman. Ceux autour étaient déjà nus et voulaient la violée durant des heures.

Aurélie eu la pensée "Nico, sauve-moi et ma mère" en versant une larme. Le mec allais la pénétré mais fut projeté violament contre le mur ainsi que les autres. Déboussolés et étourdient, ils levaient à peine la tête qu'ils virent une ombre noire avec des yeux rouge ainsi que des dents longues et acérés.

Nicolas se jeta sur les jeunes qui hurlaient de terreurs. Ils se mirent à hurlé quant le croque-mitaine les dévora un par un. Le bruit des os qui craquent et le sang qui gicler de partout. L'un d'entre eux tenta de sortir de la chambre mais elle était fermé car le croque la tenait fermé mentalement, il s'accharné en vaint en entendant ses potes se faire réduire en charpie par cette chose, ce cauchemard.

Nicolas fondis sur lui et n'en fit qu'une bouché. Il étendit son ombre partout pour le nettoyage. Il passa sur Aurélie et il aspira toutes les traces en 2 secondes. Aurélie sentit comme une carresse absorbante passé sur tout son corps la nettoyer. Même avec le luminol, on trouverais aucune trace de sang.

Il fonça vers la mère en passant sous la porte pour la sauvé. Les jeunes qui violé la mère s'arrêterent et se demandé ce qui se passait mais n'ont pas eu le temps de réfléchir. Une ombre fonça sur eux et les dévorérent en quelques secondes. Ils hurlerent de douleurs mais en quelques instants ce fut finit.

L'ombre s'étendit de partout et sur la mère terrorisé qui hurla de peur mais se rendit compte que cette chose ne lui fit pas de mal. Au contraire, elle nettoya toute les traces de l'agression et disparue peut après.