Rêves, rêves dans les pas infinis
Crèves, crèves dans la voix de l'oubli
Né, prie, meurt, cri
L'ombre avalant la lumière qui gîtLes édifices s'effondrent peu à peu
S'écroulant croulant, les cendres
De l'entourage encourageant gaiement les sauvages aux mains d'argentPuis tout se tue
Les prémices du délice
De ma tutrice
À qui je confie mon cœur arduLes décennies révolus
Par le temps de demain
Le savoir évolue
Mais plus dans nos mains
Les livres nacrés ne sont
Que les reflets de l'histoire
Le miroir de l'évolution
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La ligne rouge
Поэзия3 ans ont donc suffit à tirer parti de ce qui me sert de brouillon