Comme un phoenix renaissant de ses cendres
Du feu enflammant sa queue orangée d'or
Quittant son nid et sa rassurante ombre
S'élevant dans les cieux comme un conquistadorFixé vers l'été son regard est plus tendre
Sous ses ailes les nuages se poussent, corridors
Le nouveau désinvolte, des cieux, se fait maître
Dans sa course folle pour toujours un cadorAucune peur ne l'habite libre immortel
Au pouvoir de vie, chance accidentelle
Loué pars les anges, rêvé pars les hommes.