Chapitre 27

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Deux semaines plus tard, TOM avait invité Irène à dîner. Ils s'entendaient tres bien, elle venait de se séparer de son fiancé et lui n'a jamais rencontré quelqu'un avec qui il voulait avoir une relation sérieuse. C'est ce qu'il lui avait dit mais en réalité, avec la vie qu'il menait, il ne voulait mettre en danger la vie de personne mais Irène...
Armelle était retourné à Lyon depuis bien longtemps par contre 2 mois après elle était revenu au Caroline du nord, cette fois descendu dans un hôtel. C'était une femme intelligente et elle comptait bien revoir TOM, celui ci malgré son profil dangereux lui plaisait bien.
Un soir, elle rendit visite à Irène.
- tu attends quelqu'un? Demanda Armelle en voyant la table soigneusement décoré avec des chandelles.
- oui, je ne m'attendais pas à te voir. Répondit Irène.
- moi non plus mais je tenais à te faire un petit coucou, je passais par là.
- comment va maman?
- je ne sais pas, je ne l'ai jamais su. À moi de te poser la question.
La sonnette retentit, Soudainement joyeuse Irène se dépêcha d'aller ouvrir.
TOM était vêtu de noir, une rose rouge dans la main droite etvune bouteille de vin dans l'autre. Il fut légèrement surprit de voir Armelle, d'ailleurs elle aussi puisque ses levres sont restés entre ouvertes.
- dis donc ma grande tu ne perds pas de temps. Dit elle.
- nous ne sommes pas les meilleures amies du monde sinon je t'en aurais parlé....excuses moi Erick mais je dois finir de me préparer,  je reviens tout de suite d'accord.  Heureusement que t'es là Armelle.
Dès qu'Irène disparut de la pièce, Armelle fit quelques pas vers TOM.
- je n'ai pas du tout l'intention de vous tenir compagnie comme ma sœur le souhaiterait par contre...je tiens à vous dire que je vous cherchais.
Elle glissa une carte dans la poche de son pantalon. Puis lui chuchota à l'oreille.
- vous aurez bien vite marre d'elle avant la fin de ce dîner. Passez me voir!
Dans un sourire avertissant,il lui dit avant qu'elle ne puisse se décoller à lui.
- vous jouez avec le feu!
- jusqu'ici vous n'aviez pas brûlé ma sœur. Sourit elle vicieusement.
D'une démarche parfaite, elle atteignit la porte d'entrée.
- Dites à Irène  que je m'ennuyais!
Elle lui fit un clin d'œil, ouvrit la porte ensuite la referma derrière elle.
TOM connaissait ce genre de femmes, audacieuses, vicieuses, manipulatrices, cupides...mais il n'en avait pas peur, au contraire Armelle ne laissait pas ses sens indifférent malgré les sentiments qu'il commençaient à ressentir pour sa sœur. Avec ces femmes, il ne fallait tout simplement pas tomber amoureux. Un bref instant, il eut envie de la rejoindre et de la pénétrer profondément au beau milieu de la rue mais...le doux visage d'Irène descendant les escaliers dispersa ses idées vagabondes.
- Tu es magnifique!

Ils avaient passés une excellente soirée ensemble, ils avaient pris le dessert dans la chambre d'Irène et il lui avait fait tendrement l'amour, elle s'était ouverte à lui comme une fleur et il en avait profité avec reconnaissance.

Ce n'est que 2 jours après qu'il rendit visite à Armelle vers les 10hres du soir.
- suis je censé être contente de vous voir 2 jours après mon invitation .
- j'étais pris par d'autres obligations...mais je peux repartir si vous le souhaitez.
- ce jeu, réservez le à Irène. Vous faisiez le dur, le désiré, voilà pourquoi vous n'étiez pas venu mais passons! On dévore mieux quand la patience n'est plus.
Elle lui avait déjà sauté dessus, et TOM s'était retourné pour la plaquer contre le mur. Il la captura par le cou et éloigna le visage d'Armelle du sien, elle avait envie de lui, ça se sentait dans sa respiration et se voyait dans ses tetons déjà endurcient sous sa robe de nuit de soie.
- Tu me veux quoi? Le taquinait Tom juste pour attiser son envie bien que lui mourrait envie de la sauter.
- je veux ça! Dit elle en resserrant la pression de ses cuisses autour de la taille de TOM.
Il sourit puis lui plaça un doigt dans le vagin, lui agrippa les cheveux avec l'autre main.
- pénètres moi ! Je..t'en prie.
Il lui servit un deuxième, il les jouait avec tant de professionnalisme, un troisième qui fit gémir de plaisir Armelle.
Puis en un mouvement de reins précis, il la pénétra sans passer à côté.
- ah! Lâcha T-elle avant de lui coller les dents à l'épaule.
C'est ce qu'elle aimait, la brutalité, la douleur mélangé au plaisir. Elle voulait se sentir secouer à chaque fois qu'il arrivait en elle. Elle était ravie quand il la positionna à quatre pattes sur le lit et la pénétra jusqu'à ce qu'il jaillit en elle, et pour assouvir ses désirs à elle, il le retourna sauvagement et la suça

Dangereux ou Psychopathes ? TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant