Personnage: Théthys joué par Erakuko

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Posté le 28 mars
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Prénom : Théthys
Nom : Aucun
Surnom : Aucun
Age : 100 ans (équivalent humain 15 ans)


Description physique :


Théthys est une sirène. Son buste est celui d'une femme, et son corps se termine en une longue et puissante nageoire. C'était une longue et épaisse chevelure noir tombant en cascade dans son dos, qui encadrait un visage d'un ovale parfait, transpercé par de grand yeux vert d'eau bordé de long cils noir, une peau éclatante de blancheur qui semblait faite de nacre, et une nageoire aux écailles bleu océan qui quelques fois, sous les rayons du soleil, prenait une teinte argenté.
Lorsqu'elle est immergée dans l'eau, seul ses cheveux couvre sa poitrine, parfois, elle les tresses dans son dos et décor sa natte de fleurs marines.
Théthys peut se transformé et acquérir des jambes, ce processus est néanmoins douloureux. Ses os et ses muscles se déplace, se brise pour se divisé et donné deux jambes. Une fois sortie de l'eau, elle revêt en général n'importe quel bout de tissus a proximité.
Le chant des sirènes agit comme un paralysant, durant quelque secondes, la victime est comme hypnotisée. Si leur voix leur suffit en général, elles sont aussi capable d'utilisé des armes,



Histoire :


Théthys est la 13èmes d'une fratrie de vingt-et-une sirènes, vivant dans les profondeurs de l'océan avec ses vingts-et-une sœurs et leur mère, elle y vécu paisiblement jusqu'à son centième anniversaire. A l'âge de cent ans, les sirènes ont la permission de monté a la surface, d'échangé leur nageoires contre des jambes durant quelques heures, et ainsi, elles errait sur les plages ou se laissait dérivé dans l'océan sur de vielles barques durant des heures, jusqu'à croisé la route d'humains. Lorsqu'elles les avait approché de suffisamment près, elles les dévorait.
Le jour ou elle eût cent ans, Théthys rejoignit ses sœurs les plus âgées a la surface de l'océan. Elle se transforma, changeant ses nageoires en deux jambes. La douleur fut infernale, et durant plusieurs minutes, on n'entendait rien d'autre que les hurlements strident des sirènes perdant leur nageoire, étendue sur le sable rouge de sang.

Au cours de la nuit, un navire approcha les rochers, et les sœurs se mirent a chanté. Lorsque leur voix s'élevèrent, le bateau s'arrêta, et de nombreuses silhouettes apparurent sur le pont. Des hommes, une petite dizaine, les observait. L'un d'entre eu lança une corde, et la plus âgée des sœurs la saisi, puis la deuxième, la troisième, et toute suivirent, jusqu'à Théthys.
Les huit sirènes montèrent sur la bateau, sous les yeux ébahit des marins, elles se tenait là recroquevillée les unes contre les autres. Puis, l'une commença a chanté. Le chant des sirènes résonna bientôt dans toute la crique, et bientôt, les marins se laissèrent tombé sur le sol, et furent dévoré par les sirènes.
Lorsqu'elles eurent finit, l'aînée attrapa une torche enflammée, et la jeta sur le planché en bois, puis suivit de toute les autres, retourna a l'eau.
Bientôt, les flammes dévorèrent le navire, les sœurs était là, et regardait depuis la mer. Théthys trouva les flammes somptueuses, elle se trouva fascinée par l'incendie qui consumait le navire.
Elle trouva le spectacle si beau, que lorsque ses sœurs décidèrent de se promené sur la plage, Théthys préféra resté dans l'eau et regardé l'incendie brûlé jusqu'au bout.


Les sœurs s'en allèrent, et Théthys resta. La crique était redevenue silencieuse, et a présent, on n'entendait plus que le crépitement des flammes. Dans ce silence presque complet, Théthys entendit soudain un bruit étrange venant du bateau. Un cri strident, un cri qu'elle ne savait pas identifié. La sirène grimpa sur ce qu'il restait du bateau, et esquivant les flammes, tenta de trouvé l'origine de ce bruit. En faisant tombé une porte, elle vit derrière des rideaux, un enfant. Ou plutôt, un bébé, un tout petit bébé. Il criait et pleurait, près de lui gisait une femme que Théthys savait déjà morte.

Le bébé poussait des hurlements strident, et déchirant. Elle fixa l'enfant qui pleurait pendant de longues secondes, des secondes qui paraissait être des heures. Puis, dans son dos, elle sentit une chaleur étrange, c'était les flammes qui venait de la piégé a l'intérieur de la cabine. Elle s'approcha de la fenêtre d'où était l'enfant, et a l'aide d'un vase lourd, elle brisa le carreau de la fenêtre. Le verre tomba sur le sol et écorcha ses jambes, puis, alors qu'elle s'apprêtait a rejoindre l'océan, elle se retourna une dernière fois. L'enfant pleurait toujours. Elle laissa le vase tombé par terre, et presque sans réfléchir, elle lui attrapa le bras sans le moindre délicatesse, et sauta par la fenêtre, le bébé dans ses bras.
Lorsqu'elle se retrouva dans l'eau, elle tenta comme elle pouvait de nagé et de sortir des décombres, sans sa nageoire, elle se trouvait vulnérable en dessous du bateau qui tombait en morceaux. Elle nagea non sans peine jusqu'à atteindre la plage, étendue sur le sable, épuisée, elle regarda l'enfant qu'elle tenait encore par la main.
Le bébé ne bougeait plus, ne respirait plus, ne pleurait plus. Il avait presque l'air de dormir. Elle toucha du bout des doigts sa joue, elle était glacée. L'enfant s'était noyée pendant qu'elle avait nagé jusqu'au rivage.


Après cet incident, les sœurs de Théthys la retrouvèrent, prostrée, devant le corps de ce bébé. Elle avait tenté de le sauvé, de sauvé un humain. Un bébé certes, mais un humain quand même.
« Ils sont presque comme nous ! » avait-elle répondu a son aînée pour tenté de se défendre, mais elle n'entendit pas. Les sœurs était dans une colère noir, mais, elles eurent pitié de leur plus jeune sœur, alors, elle laissèrent Théthys fuir. Elle prétendirent a leur mère que Théthys avait été écrasée contre la falaise, et qu'elle était morte.
Théthys pris la fuite. Elle nagea durant des jours, des semaines, pour la première fois elle sorti de l'océan et suivit le cours des rivières et des fleuves. Son périple dura cinq long mois, cinq long mois d'errance et de solitude.
Après tout ce temps, Théthys ne savait même plus où elle allait, pourvu que ce soit loin, très loin.
Elle erra alors, seule, durant tout ce temps, jusqu'au jour ou elle finit par se laissé emporté dans une énième rivière, ou elle croisa la route de ce qu'elle pensait être des humains.

RP L'Antre HistoireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant