Assassin's Creed : Le lycée

16 Mars

-Iris- voit Desmond au loin et décide d'essayer de lui faire peur. Elle s'approche de lui à pas de loup

-Ratonhnhaké:ton- qu'es qu'elle fait ?

-Arnaud- se pose contre un mur et la regarde faire

-Océlia- pose sa main sur l'épaule d'Arnaud et avancé sa tête de son oreille. "tu es sur une pente glissante avec eux" Puis part faire de la lèche au prof

-Arnaud- la regarde partir, l'air méfiant

-Iris- attrape Desmond par les épaules en criant : Bouh !!

-Ratonhnhaké:ton- se moque de Desmond

-Océlia- fixe Arnaud avec un sourire gêné

-Arnaud- ne lui prête pas attention, regarde sa montre et se rend compte que les cours sont fini

-Océlia- suit de prêt Arnaud. Tu sais je disais ça pour ton bien.

-Arnaud-  sans se retourner. Très gentille, maintenant arrête de me suivre comme un petit chien car Ça a tendance à me mettre en colère

-Océlia- Je n'essaie pas de te mettre en colère voyons. Je veux te protéger. On dirait que tu as une dent contre moi.

-Iris- regarde la scène, son regard mélange interlocation et haine

-Arnaud-  Disons que je ne supporte pas les gens qui essaie de...me dire quoi faire

-Océlia- mais par-contre ELLE, pointe du doigt Iris, elle a le droit ?

-Iris-  s'approche en voyant Océlia la pointer du doigt Salut ia-ia ! Contente de te voir, il y a un problème avec moi ?

-Océlia- pousse fortement Iris contre Desmond. Oui j'ai un problème avec toi

-Arnaud- attrape Ocelia a la gorge et la plaque contre un mur, son visage noir de colère Recommence encore une fois a t'en prendre a mes amis et tu auras a faire a moi est ce assez clair

-Océlia- oui Part furieuse

-Iris- se relève T'as de la chance que j'ai pas envie de jouer à ça, Océlia !

-Arnaud- la regarde partir et ne la lâche pas du regard et va voir Iris Tu vas bien ?

-Iris-  Oui. J'espère pour elle ne pas recroiser sa route avant la fin de la journée.

-Ratonhnhaké:ton- elle fait partie de notre classe.

-Arnaud-  Pourquoi s'en n'est t'elle prise a toi ? Et pourquoi m'a t'elle dit que j'étais "sur une pente glissante avec vous"?

-Iris- Je ne sais pas. Tout ce que je sais, c'est que nos deux familles sont en conflit. Et pour la pente glissante... C'est une Templière ?

-Arnaud- reste pensif un moment puis reprend De toute façon ils nous reste une heure de cours avant que la journée se termine

-Iris-  Eh bien, j'essaierai de ne pas trop la croiser durant cette heure.

-Ratonhnhaké:ton- tu ferais mieux de rester avec quelqu'un jusqu'à ce qu'on rentre tous chez nous. Il faut être barge pour mettre son enfant ici.

-Iris-  Certains parents n'ont pas le choix...

-Ratonhnhaké:ton-  Développe! Attend avec impatience la réponse d'Iris

-Iris-  Eh bien... C'est le seul lycée accessible de la région et... Mise à part toutes ces tensions, l'enseignement y est correct.

-Ratonhnhaké:ton- C'est vrais qu'il y a des très bon résultats

-Arnaud- Si tu veux tu te met a côté de moi Iris

-Iris-Pourquoi pas ? Sourit à Arnaud

-Arnaud- lui rend son sourire Aller il est temps d'y retourner

-Iris- Super... Youpi...!

-Arnaud- Aller ce n'est qu'une petite heure de pacotille sa va aller vite

-Iris- On ferait mieux de se dépêcher !

-Arnaud- acquiesça de la tête et parti en direction de la salle de classe. rentre dans la salle est part s'asseoir a sa place

-Iris- Entre à son tour et vient s'asseoir à côté d'Arnaud

-Arnaud- Tu vas faire rager Ocelia tu sais ? Ahah

-Iris- C'est justement pour ça que j'ai accepté ! Rit

-Arnaud- ricane puis suit le cours

-Ratonhnhaké:ton- attend avec impatience la fin de l'heure. Il regarde autour de lui et repense à sa première discussion avec Iris, espérant de tout cœur qu'il y est quelqu'un sur la chaise à côté de lui demain. L'heure n'était pas au rendez-vous mais Océlia vu Ratonhnhaké:ton seul, elle saisi l'occasion. Je te demanderais bien de partir mais je n'ai pas la force et surtout l'envie de me battre avec toi. 

-Océlia- Moi non plus. Tu es moche quand tu es triste. 

-Ratonhnhaké:ton- Qu'est ce que tu veux de moi ?

-Iris- perçoit des bribes de conversations. Elle tente de garder son calme mais, sous le coup de l'énervement, elle se met a appuyer si fort sur la mine de son crayon que celle ci se brise. (Quand est-ce qu'elle nous laissera tranquille ?!)