- On se connaît il me semble ? Demande ce basketteur très connu qui me soûle d'avance...
- Non, je ne crois pas monsieur. Nie-je en espérant qu'il ne me reconnaisse pas.
- Ah ! Tant pis. Appelle moi Aomine, pas monsieur. Me dit-il en se relevant.
- D'accord Aomine. Souris-je crispée.
- Toi, tu t'appelle comment ?
- Pardon de t'avoir jetée par terre, mais je suis pressée. Salut ! M'excuse-je en partant en courant en direction de mon chez moi.
Mon footing fut arrêter plus tôt que prévue. Cependant c'est bon à savoir Aomine Daiki a un cerveau et sait reconnaître les gens. Mais, heureusement, il ne pousse pas trop loin sa réflexion. Il faut que je reste vigilante. La génération miracle me dégoutte trop pour qu'il sache que je suis ici a pars mon Kuroko ! J'allais arriver chez moi. Enfin chez Kagami, j'arrive pas accepter que c'est chez moi. Quand soudain je vois Izuki Shun vers ma porte... Surprise je recule, regarde mon téléphone et vois trois messages d'Izuki. Le premier : "Si tu ne réponds pas aux messages, je vais me fâcher". Bein fâche toi ! Le deuxième message : "Sonia !" Oui, c'est mon prénom. Troisième messages : « Je t'attend devant chez toi ». Ouais, je vois que tu m'attends. Il tient vraiment à savoir pourquoi ! Mais comment expliquer si même moi je ne sait pas pourquoi je réagis de cette manière quand je le vois ! Tout à coup je reçois un autre message: "Je t'ai vue, tu ne peux pas t'enfuir petite lionne" Arg... Bonne nouvelle, je suis passée de tigresse à lionne mais la mauvaise il m'a vu. Allez Sonia ! Prend ton courage à deux mains et passe sans problème! Je me dirige vers ma porte avec fierté et courage. J'ouvre la porte et n'écoute pas Izuki qui me parle. Cependant il ne fait pas de geste pour m'arrêter donc tant mieux. Je mets un pied à l'intérieure de chez moi ! Je me détends et baisse ma garde... Cela n'a pas échappé à Izuki qui me choppe le bras, me retourne et je me retrouve le dos contre le mur de l'extérieure... Pourquoi j'ai perdue ma garde, je suis coincée. Mon éventuelle sortie se trouve à gauche où il y a son bras. En face de moi, il y a lui... J'ai raté !
- Lâche moi ! M'exclame-je.
- Non, je veux des réponses, pourquoi tu ne me parle plus ? Pourquoi es-tu fâché ? Qu'ai-je fais de mal ?
- Il faudrait déjà que je le sache... Murmure-je inaudiblement.
- Tu as dit ?
- Rien. Je fais ça parce qu'on sait dit avec Riko que ça vous servirais à vous dépasser durant l'entraînement. Dis-je en tournant le regard sur son bras.
Je sais que je mens mais je ne sais pas quoi dire. Comme je l'ai dit je n'ai pas de réponse valable... Même si au début c'était vraiment pour utiliser notre colère pour qu'ils entraînent mais avec Izuki c'est autre chose que je ne peux expliquer... Izuki me lâche et dit:
- Ok. À plus.
Et il s'en va... Il part sans aucune réaction ! Non mais c'est pas vrai ! Je ne sais pas s'il m'a cru. J'aurais préféré qu'il me fasse une blague, m'engueule ou je ne sais mais pas ça ! Car là, c'est pire que tout, il me fait flipper. Je ne sais plus quoi en penser. Je soupire, rentre chez moi encore perturbée. Je m'assaille sur le canapé. Trop d'émotion, entre l'idiot de service aux cheveux bleues et l'aigle qui m'aide pas.... Aide moi subconscient ! Pourquoi je n'arrive pas à expliquer ce que je ressens, je n'ai jamais appris à comprendre cela moi. J'ai remarqué que quand je m'énerve c'est quand il y a la pouf sur Izuki, donc la prof me soûle et je sais très bien que Izuki n'a rien fait mais au fond de moi c'est Izuki... AHHHHH !!!! Je ne suis pas faite pour comprendre mes émotions. Je laisse tomber ! Je vais prendre une douche. Je m'habille avec un pyjama bleue avec un nuage blanc sur mon haut. Je mange un petit plat préparé par moi, devant la télé. Cette soirée est vraiment trop mouvementé ! Je m'en sors plus. Pfiou, le Japon est épuisant. Mon téléphone sonne ce qui me fait sursauté. J'hésite car si c'est Izuki, je suis mal... Ma curiosité est plus grande que mon hésitation et découvre que Riko a réussis à avoir un match pour demain 15h00. Je la remercie et envoie un message à Izuki "Demain 15h00 match". Il écrit Ok. Il m'a vraiment cru ? Trop cool, moi qui me trouvait pas convaincante. J'espère que ça n'a rien brisé entre nous. De toute manière, c'est sa faute ! Je regarde la télé et au final, je m'en dors devant... Pourtant j'ai lutté... Mais la fatigue m'a submergé.
VOUS LISEZ
Kuroko no Basket : Ne jamais penser qu'il n'y a personne au dessus de soi
FanfictionKagami Sonia, sœur de Kagami Taiga, raconte sa vie au Japon. Elle a été au courant par une amie qui lui a prévenu que son frère est là-bas. Malheureusement, Sonia n'a pas de chance et devra se déguiser et éviter des gens. Les secrets qu'elle cache...