Femme indolente

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Ton corps est une poésie,
Excuse-moi de m'en abreuver !
Mais j'ai besoin d'analgésie,
Je saigne un liquide dépravé.

Ton art se dessine et s'efface,
Il se perd en moi et se disperse...
Sur tout le long de sa surface
Je perçois ses sonorités diverses.

La mélodie de ton éloquence
Est une rivière mélancolique,
Qui attise mes souffrances
Dans mon délire amnésique.

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