Chapitre 2

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Laia ria en l'entendant

-Serais-je avec la commère du lycée ?

-En quelque sorte

Elle ria et monta sur le toit avec moi. Elle ne s'approcha pas tellement du bord car elle avait légèrement le vertige. Il fallait seulement qu'elle prenne l'habitude

-j'ai entendu dire qu'il y avait une soirée ce soir... vous allez y aller avec Matteo ?

Laia me regarde avec un léger sourire aux les lèvres, elle vint remettre une mèche de ses cheveux derrière son oreille. Rien que ce petit geste me faisait fondre. Mais qu'est-ce que je racontais ??? Ce n'était pas possible pas en trois heures sauf si ... non non Nick ce n'est pas un coup de foudre ressaisit toi.

-Hum... ouais ouais, enfin, moi oui lui je ne sais pas encore il ne m'a rien dit pour l'instant donc ne t'attend pas à ce qu'il vienne répondit-il à sa question

-tu pourras me donner l'adresse ? je ne l'ai pas encore

-Ouais bien-sûr je te l'enverrai par message

Je viens lui tendre mon téléphone portable afin qu'ell y enregistre son numéro de téléphone. Quand elle me rend mon portable avec un léger sourire timide je viens voir qu'il est déjà 16h45. Le temps d'aller au travail j'allais arriver en retard. Fallait que je me dépêche quitte à l'abandonner en haut. Dans tous les cas je devais bien l'éloigner de moi avant de la faire souffrir.

-Faut... faut que j'y aille. On se voit ce soir je t'envoie l'adresse ne t'inquiète pas

-A ce soir... Répondit-elle en trouvant ça étrange qu'il s'enfuit aussi vite. Est-ce qu'elle avait dit une bêtise ? Elle se remettait en question et quand elle redressait sa tête pour ajouter quelque chose Nick avait déjà disparu.

Je rentre rapidement chez moi. Je monte me changer avant de repartir toujours avec ma moto. J'allais à mon travail, je venais dépasser les limitations de vitesse étant donné que j'étais de plus en plus en retard. Mon travail ? et bien il n'était pas commun je travaille dans un gang, le plus réputé de la ville. C'était grâce à ça que je pouvais me payer les factures à la place de mon père et que je pouvais me permettre d'avoir à manger chez moi. Je ne pouvais absolument pas compter sur mon père qui était alcoolique. Une fois arrivé, je descends de ma moto et entra dans le hangar. Comme tous les jours j'alla voir sur un mur les missions qui y étaient affichés. Plus la mission était dangereuse plus elle valait d'argent. La plupart du temps je prenais des missions peu dangereuses qui rapportait cent à deux cents euros. Lorsque je prenais des missions dangereuses (qui en valait dans les cinq cents euros) c'était parce que je n'avais pas le choix. Si mon père voulait trois cents euros le lundi il fallait que je les aie le lundi sinon je m'en prendrais plein la tête. Et par s'en prendre plein la tête c'était subir les coups de son père qui pouvait très bien être des coups de poings, des coups de pied ou des coups de batte de baseball pour le coup, mon père avait beaucoup d'imagination pour maltraiter ma famille et toute les excuses étaient bonnes à prendre. Pour aujourd'hui je songeai à prendre une mission à deux cents euros. C'était simple j'avais pour mission de livrer trois paquets d'un kilo à un dealer qui était un de nos clients régulier.

J'alla donc chercher les trois kilos dans la réserve. Je pars avec deux autres hommes. C'est deux hommes venait pour ma sécurité du moins c'est que notre chef essayer de nous faire croire. En réalité ils étaient là pour valider la livraison et la réception de l'argent mais aussi pour récupérer la cargaison si jamais ça tourner mal. Je partais donc avec les deux hommes en voiture, laissant ma moto au hangar. Bizarrement j'avais un mauvais pressentiment et généralement quand je l'avais je ne me tromper pas. Une fois arrivé sur les lieux, c'est-à-dire, derrière un entrepôt abandonné je viens descendre de la voiture et je viens ouvrir le coffre, à l'intérieur il y avait la mallette avec la drogue. Le client venait vérifier qu'il y avait bien tout ce qu'il désirait. Il fit signe à un de ses larbin de venir apporter la mallette remplis d'argent. Je venais rapidement les compter mais je vis rapidement qu'il n'y avait pas le bon compte.

-Il en manque cinquante mille lui dis-je en venant glisser ma main derrière mon dos. Je viens placer une jambe en arrière, je me mettais sur mes gardes en venant attraper le pistolet que j'avais glisser sous mon tee shirt, entre mon jeans et mes hanches.

-Oh... j'ai oublié... vous aurez le reste ce soir.

-Ce n'est pas ce qui était convenu

Je fis signe aux deux hommes qui m'avaient accompagné pour qu'ils ferment le coffre, ceux qu'ils firent rapidement. Quant à moi je me reculais doucement, mais à vrai dire notre client n'étais pas des plus heureux. Il venait rire nerveusement avant de se tourner pour partir vers sa voiture puis d'un coup nous pouvions entendre « tuez-les. » il venait en donner l'ordre. Je viens rapidement sortir mon arme avant de commencer à courir vers la voiture pour pouvoir me protéger. Je m'étais déjà pris une balle et c'était très douloureux donc je ne voulais pas que ça recommence. Par chance je réussis à monter en voiture avant que les coups de feu ne commencent. Les deux hommes qui m'accompagner venaient rentrer dans la voiture peu de temps après moi. Nous partions à toute vitesse. Mais ce qui venait de se passer était une déclaration de guerre. C'était définitif nous avions un ennemi. Je rentrais au hangar trente minutes après ce qu'il venait de se passer. Je venais faire un rapport à mon chef qui n'était pas content du tout. Il allait rapidement réunir dans le salon tout les membres du gang pour en faire un rapport. A présent nous devions tous être accompagnée lors de nos missions. Même si celle-ci n'était pas spécialement dangereuse. L'heure tourner je venais rapidement envoyer l'adresse à Laia par message même si je n'allais sûrement pas pouvoir venir vu l'heure.

Je mangeais avec deux de mes collègues Pamela et Ezio on était arrivé dans ce gang ensemble en revanche on ne partager pas notre histoire, tout ce qui faisait partit de nos vies rester en dehors du hangar. Vers 23h je décolla du boulot, et vue que je voulais te voir je pris ma moto et parti à la fête. Une fois là-bas je te texta pour savoir où tu étais mais tu ne me répondit pas. Je fis alors le tour de cette maison en soupirant je venais rapidement prendre un verre pour le boire cul sec. Cette journée avait été riche en émotion mais elle n'était toujours pas finie. Au bout d'une vingtaine de minute je vis Laia au loin ! Elle était en train de danser dans cette robe flottante. Je pris un autre verre sans la lâcher du regard. Elle était magnifique bordel, je venais m'approcher petit à petit en buvant doucement mon verre.

Laia souri en me voyant, il était venu ! c'est ce dont elle penser directement en le voyant.

-Tes làààààà ! j'ai vraiment cru que tallais pas venir tu sais... dit-elle en faisant une moue avant de rire. C'est grâce à ça que je compris qu'elle était alcoolisée.

-T'as bu combien de verre au juste... répondis-je en soupir ant, ce n'était pas vraiment la soirée que j'avais espérer

-Hum.... Elle comptait sur ses doigts ... je dirais 3 enfin je crois je sais plus !

-Laia... elle me coupa pour prendre encore la parole. L'alcool la rendait très bavarde

-Est-ce que... Elle ria. Est-ce que c'est vrai que tu as tué ta mère ?

Amour et trahisonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant