Natsu the poop

C6

il était 18h30 j'allais pouvoir fermer la boulangerie. Dehors, il pleuvait fort.     Hum... Le mois de mai se faisait ressentir.

"Il pleut toujours en mai. soufflais-je

- Oui mais c'est agréable non ?

- Hum...

Il y eu un silence. Natsu regardait au loin le regard un peu vide.

On restait sous l'abris de la boulangerie pour ne pas être trempés.

Finalement je pris la parole.

-Quand j'ai du venir au palais. Ce jour là aussi il pleuvait...

- Oui... Tu sais, j'ai réfléchi, et je n'ai pas le droit de t'obliger à vivre avec moi.

- Natsu...

- Non, laisse moi finir... Tout à l'heure, je suis venu te dire adieu. Je sais que tu préfère vivre ici avec ta famille. Ici tu pourra rencontrer un homme qui t'aimera et tu pourra vivre une belle vie. Moi je me marierais avec une grande dame qui enfantera le futur roi. C'était une erreur ce jour là, d'aller au bar et de t'emmener avec moi... M'enfin, c'était cool de t'avoir à mes cotés un moment... Donc, je m'excuse Luce.

- Mais quel con ma parole.

- Hein ?

- Rho bordel. J'ai pas envie de passer ma vie ici, j'ai pas envie de rencontrer un autre homme que toi! Et t'as pas intérêt a trouver une riche dont tu tombera amoureux!

Oui ici j'étais bien mais il me manquais quelque chose, quelqu'un... Je pensait pouvoir l'oublier.

- Heu je ne savais pas que tu pouvait avoir ce langage...

- C'est l'énervement putain.

- Ah

- C'est tout ce que tu as à dire ???

- Heu non... mais... ça veut dire que tu veux retourner au palais?

Pourquoi je suis tombée amoureuse de lui ?

- Pas forcément au palais Natsu...

- Où alors?

- Avec toi, juste avec toi.

Il devint rouge.

Je souffla d'aise, fallait que ça sorte. Et ça fait vraiment du bien. 

Il pris mon poignet et m'emmena sous la pluie.

- Natsu! Tu fait quoi? On va être trempés!

- Hé Luce ?

- Quoi gros lourdo?

- Je crois que je t'aime.

Oh putain

Il avait placé ses mains sur ma taille.

- Heu... Moi..moi aussi. dit-je tout doucement

Cette fois c'est moi qui rougit.

- Dit-le. Que tu m'aimes

je souffla

- Je t'aime.

- Encore ! dit-il comme un gamin

- Non mais ça va une fois!

Il rigola.

Je souri.

- Maintenant je suis censé t'embrasser non ?

On était toujours sous la pluie, maintenant trempés jusqu'aux os.  Il s'approcha lentement.