Chapitre 15

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Je rentre et tombe nez à nez avec la meuf de la dernière fois qui étais avec Nahil (Sara).

Elle: - salut tu fais quoi ici

Moi: - rien et toi

Elle: - je vit ici la plupart du temps.

Moi: - ok. Tu peux me dire elle est où le terrasse?

Elle: - pourquoi tu veux aller voir mon mec?!

Moi: - euhh... Pas du tout je veux voir mon frère enfaite.

Elle: - je t'accompagne moi aussi je vais y aller.

Moi: - ok.

Sur ma vie elle est bizzard cette go. Y a 2 minutes je pensais que c'était un interrogatoire. Avec son vieux mec. Il me dégoûte Nahil j'ai envie de le gifler quand je le vois avec sa tête là. J'attend juste le bon moment. On arrive a la terrasse et je vois imran, j'ai pas envie de lui faire un câlin mais le batard de Driss me regarde par sa chambre. Du coup je vais en face de lui et lui fait un câlin. Tous le monde me regarde.

Moi: - Vous avez quoi?! Regardez devant vous nan

Je me détache de lui

Lui: - ta quoi là ?

Moi: - bah rien c'est un câlin tes pas content?

Lui: - si mais sa m'étonne venant de toi.

Moi: - pardon pour tout à l'heure.

Lui: - ok

Moi: - ta vue je suis là je m'excuse et toi tu me répond juste ok

Lui: - bah oue j'ai rien à te dire

Je me lève sous tous les regards de tous ces trous du cul et je fais un gros doigts d'honneur a Driss.  Tout le monde me regard choqués

Moi: - Imran c'est la dernière fois que je viens m'excuser ou meme faire le premier pas tfou!!

Lui: - tgl.

Je vous le jure dans ma tête je me chauffer. Je monter en pression j'avais qu'une envie c'étais me battre j'attendai la prochaine personne qui aller osé me parler.

Sara: - calme toi nan il t' a rien fait hein

Ni 1 ni 2 je l'ai attraper par les cheveux je lui ai fais au moins 15 tour de tourniquet gratuit. Si a la fin de son manège elle a pas eu le tournis je m'appelle pas ilheme. Je l'ai laissée par terre...

Imran: - OHHH MES TES MALADES!!

Moi: - va te faire foutre toi!

Je vois Driss entrain de courir comme un k-sos

Moi: - sa sert a rien de venir me faire la morale je m'en bât les couilles de ce que tu me dis. 

Driss: - parle autrement.

Moi: - nan.

Sans plus attendre je ressort de la villa et je me pose a l'entrée sur mon  tél. Mes parents me manque trop, même l'orphelinat me manque wallah...



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