Carmen Sandiego UA

Chapitre 1 - Au Toiture

"N'oubliez pas, Agent Argent, notre mission est d'attraper Carmen Sandiego. Vous ne pouvez pas la laisser sortir une autrefois."

Chef m'a fixé avec une expression sévère. J'ai mis de côté des réserves que j'ai eues à propos de capturer Carmen Sandiego.

"Je ne vais pas vous décevoir, Chef."

Elle a hoché la tête et l'hologramme s'est dissipé. Le stylo s'est tombé au sol. Agente Zari a tourné vers moi.

"Nous allons alterner entre les étages. À moi, les impairs, et à vous, les pairs.

Nous deux avons tourné vers le grand parking derrière nous. Le géant immeuble de vingt étages était étonnamment vide, et il y avait seulement une poignée de voitures réparties partout. L'un des derrières était une voiture de location qui était payé pour par un compte marqué d'être obtenu par la voleuse carmin. Nous nous sommes fait oui de la tête et sommes entré l'immeuble.

Nous avons cherché dans les étages, un par un, en examinant les parkings. J'ai avancé plus rapidement que ma coéquipière, et j'ai été rapidement sur le dernier étage. J'ai été sur le point de faire irruption quand j'ai entendu la fin d'une conversation.

"Player, je suis sur le point de déclencher une IEM, et si tu n'as pas des nouvelles de moi pendant deux heures, dis à Ivy de chercher sous son oreiller. Il y aura quatre lettres, ils sont adressés à chaque membre de la bande. Attends une autre demi-heure, puis les ouvre.

Il y avait une pause brève, pour que 'Player' puisse répondre, j'ai supposé. Carmen a poussé un soupir.

"Je vais bien, Player. Au revoir."

Un bip fort s'est fait sonner, suivi par des parasites dans mon oreille. J'ai cours au toit, en sachant qu'elle pourrait s'enfuir à tout moment.

"Si tu fais un autre pas, je sauterais"

La voix m'a fait arrêter. C'était la voix de Carmen Sandiego, mais elle était différente. C'était la sienne, mais c'était triste, et plus résignée.

"Je peux pas te laisser cette fois. Pas après comment t'as trahi ACME."

Je voulais à dire quelque chose, n'importe que, qui prouverait son innocence.

"Donc, je ne recommande pas à toi d'avancer vers moi. Jules."

La façon dont elle a dit mon nom, c'était comme elle m'a rallié.

"Je fermerais à clé cette porte si j'étais toi. Je crois pas que ta coéquipière aurait la même raison que toi."

"Si je reste là-bas, vas-tu répondre à mes questions avant que tu planes d'ici?"

Elle a souri d'un air suffisant et a tourné le dos vers moi, en montrant son sweat à capuche.

"Aucun planeur aujourd'hui. En effet, aucun gadget du tout. Juste un stylo et du papier."

Elle a fait un geste à un tas de gadgets sur le côté, juste à côté du fourgon que nous suivions.

"Tu peux les avoir si tu veux, je n'en ai plus besoin."

J'ai commencé de penser. Est-ce que c'était une sorte de piège élaboré? Pourquoi est-ce qu'elle essaye de s'enfuir sans rien sur elle? Puis il a cliqué.

"Mais pourquoi ferais-tu ça? Tu as tellement de raisons de vivre!"

Elle a souri d'un air suffisant et s'est assis sur le côté du toit. Elle m'a fait signe de m'asseoir aussi.

"Cela faisait des semaines difficiles Jules. Je sais des choses que je préfère ne pas savoir et maintenant je sais pas qui à faire confiance en."

Après quelques encouragements, j'ai appris tout sur la Carmen Sandiego insaisissable, la façon dont elle a obtenu son nom, et enfin, ce que l'a amenée à ça. Agente Zari est partie pour appeler Chef environ il y a vingt minutes et j'ai pu entendre les bruits des hélicoptères au loin. Elle a pu aussi et alors qu'elle est tourné vers le côté, j'ai su que je dois penser vite. J'ai commencé de me déplacer vers elle alors qu'elle était distraite.

"Tu as de la chance, Jules. Tu peux être la personne dernière de parler à la Carmen Sandiego insaisissable. Je suis désolée que tu ne puisses pas m'attraper."

"Elle a tourné sa tête pour me regarder et ses yeux ont élargi alors qu'elle a vu comment proche j'étais. Elle a essayé de sortir du côté, mais j'ai réussi à saisir son sweat à capuche. Alors qu'elle a lutté, j'ai vaporisé gaz de coupure sur elle. J'ai chuchoté deux mots à elle comme elle s'est endormi:

"Je suis désolée."