doux est l'été qui s'infiltre dans mes veines. une peau pourpre, je pisse le sang. et je glisse, je glisse et je glisse encore. je suis à contre sens. je suis seule. mais toi tu me suis. dans cet été sans fin, dans ce péché en lin.
le jus de la pêche à tâcher ta robe blanche. l'arme à feu est faite de nos flammes. de nos cœurs infâmes.
si tu saignes dis le moi, le corps ne daigne pas toujours s'expliquer.