Toi ma belle Provence aux milles senteurs
Pourquoi es tu ma belle Provence
Pourquoi te suis-je attaché
Je t'ai toujours été fidèle et je suis rester
Dans ton sein me nourrissant de tes biens fait
Dans mon enfance je t'ai toujours aimé
Jouant dans la cour de l'école avec les
Copains à la marelle, à chat perché
J'ai posé mon regard doux
T'entourant de mes bras protecteur
Te laissant vagabondé de ci de là
Je ne puis me défère de ta puissance
Fermant les yeux je te ressens
J'aime tous en toi ta lavande, tes cigales
Tes calissons, ton accent, ta pétanque, ton soleil....
Au lever du jour le chant des cigales me tire du sommeil
Les rayons chaud du soleil me caresse la joue
Enfourchant mon vélo je descend au village chercher des croissants
Au passage je croise les habitants ils me salut avec leur accent chantonnant
Cela égaie ma journée, je passe devant le terrain de boule
Je fais sonner ma clochette Renée, Jean, le papet et leur ami
Me font signe de la main, Pierrot leur apporte le pastis bien frais
Thomas et sa bande un lance pierre à la poche
S'arrête un instant de jouer et vont à la fontaine se désaltérer
Ils s'éclaboussent gaiment Martine un panier sous le bras
Les engueules voilà toute l'allé est mouillé
M'éloignant je vais dans la colline ça sent bon le thym et le romarin
Accouder sous un chêne je lis des romans de Pagnol
Dans la garrigue qu'il aimait tant et qui lui donner l'inspiration
Oh toi si tu étais encore là tu serais si fière
De ta Provence qui a toujours le même charme
Toi qui me lit et qui l'a connais pas viens je vais te la conter.