— les corps tiraillés ne sont plus que poussière, un tas de cendre envolé, une bouteille à la mer noyée dans les griffes de la peur. samedi la nuit on ne répond plus de rien, humains délavés aux pupilles alcoolisées. on ronge nos âmes, la folie nous dévore quand la flamme de nos briquets ne suffit plus à nous éclairer.
samedi la nuit on brise les cœurs pour mieux les reconstruire
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samedi la nuit
Poetrymots révoltés d'une jeunesse tiraillée samedi la nuit on emmerde la mort pendant que la vie nous fait des doigts avril 2020 -