{{c'était une erreur}}

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PDV DE Isabella :

Après tout une journée passé a cherché le problème dans cette belle Maserati , je n'ai fini mon travaille qu'à 23:00
Je n'ai rien avalé de la journée , et mon ventre me le fait bien comprendre , je me lève en nettoyant ma salopette bleue nuit de travaille , refait mon chignon , et range tout le matériel a ça place

Je ferme le garage ou je travaille en assurant que tout est bien rangé et fermé , car Je ne veux pas perdre mon job à cause d'un manque d'intention de m'a part

Il me faut au-moins trente minutes de marche pour arrivé jusqu'à chez-moi , je ne croit pas trouvé un bus à cette heure-ci , et même si j'en trouve il ne sera rempli que d'hommes bourrés ou de fou , alors je ne vais pas prendre de risques

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Je marcher dans les rues totalement vide de Madrid , chose normal car on et en décembre et le froid ce fait ressentir , surtout les nuit noir comme celle-ci , et je regrette de m'être vêtu d'une simple salopette et d'un débardeur en dessous et surtout d'avoir oublié ma veste ce matin , la vérité c'est que je ne me suis toujours pas habitué au froid de cette ville , même si j'y vie de pluie bientôt six ans , je suis habitué à la chaleur de Tepito , et je crois bien que malheureusement je ne m'y ferait jamais à ce froid

Je tourne à ma gauche pour m'engager dans une ruelle , sert qui fait plus peur que les autres , qui et plus froide que les autres , plus noir que les autres , mais qui me permet de rejoindre ma casa plus rapidement que les autres , alors oui je m'engage dans cette ruelle qui bizarrement me paraît plus vide que les autres alors que je n'ai pas croisé ne serait-ce qu'un chat dans ma route , mais comme je l'ai dit je veux absolument rentré chez-moi .

Et voilà comment j'ai commis ma première erreur : "ma naïveté" ,
Papa tu m'a toujours dit de "ne faire confiance à personne à part ma conscience" ,
Mais pourtant m'a conscience me crié de faire demi-tours , mais je ne l'ai pas écouter , et ta parole c'est envolé , et "ma naïveté" a gagné

Vous voyait les ruelles qui donne sur plusieurs ruelles en même temps , les une plus flippante que les autres , oui vous voyait très bien de quoi je parle , c'était dans-quoi je m'était embarqué , je passer sur des SDF endormie , des poubelles renversé , des chats en pleine bagarre , je commencé vraiment a regretté d'être passé par là

Mais le diable commencé à peine de toqué à la porte

Je voulait absolument sortir d'ici , car je commencé vraiment a me souvenir de chose qui ne valaient mieux pour moi de ne pas m'en souvenir , surtout dans un endroit pareille car si je crise il n'y aura personne pour me ramener a l'hôpital

En voulant me libérer de cette ruelle devenant trop étouffante pour ma personne , je tourne à ma gauche , mais ce que je savais pas c'était que la ruelle ou j'ai tourné était mille fois plus étroite que la précédente , mais ce que je n'ai pas réalisé qu'après dix secondes de sur-place , c'est qu'un homme y était , mais pire encore...il y était avec un  Glock 17 dans la main , et un corps en sang sous ces pieds , il ne m'avait toujours pas vue car il était penché vers le corps vérifient peut-être si il est réellement mort ou pas , j'étais figé sur-place , je n'arriver pas à bougé alors qui le fallait

Et voilà comment j'ai commis ma deuxième erreur "mes émotions"
Papa tu m'a toujours dit de "contrôlé mes émotions et de ne rien laisser paraître"
Mais pourtant mon cerveau me crié de faire demi-tours , mais je ne l'ai pas écouter , et ta parole c'est envolé , et "mes émotions" on gagnés

J'ai vue ces iris vert remplie de haine et de colère ce tourné vers moi lentement , tellement lentement que j'en ai frissonné de terreur , quand ces yeux rencontrent les miens j'ai crus un instant  que c'était des missiles et que jetait leurs cibles , son regard imposée le respect , et la soumission , et je savait a ce moment là que quoique je fasse je n'allait pas lui échappé

Il c'est relevé , et comment vous dire que j'en ai encore plus frissonné , car ci son regard  lui impose le respect que dire de ça carrure , il est long , musclé , vraiment musclé , que je me demande combien de temps lui a t'il fallût pour avoir un corps comme le sien , il était vêtu d'un jogging et d'un sweat-shirt tout deux noir ,  le Glock 17 toujours a ça main , il s'approche de moi avec assurance dans chacun de ces pas

Arrivé à ma auteure , je ne sais pas comment a-t'il pût être aussi rapide , ou bien même qu'elle force a-t'il utiliser , mais je me suis retrouvé de dos au sol , un de ces genoux sur mon ventre , une de ces main entourant mon cou , et l'autre pointant son Glock 17 en direction de ma tête , et ces iris vert dans les miens
Et je n'ai pût déchiffré de son regard , que la haine , et la colère qu'il porte envers ce monde

J'avais peur , oui j'avais extrêmement peur de lui , car ces iris vert me rappelé un homme , que j'avais réussi a "oublié" jusqu'à maintenant , et cette homme n'était autre que la cause de mes problème , de mon changement , de mon malheur

Lui :" t'on prénom "

Ça voie rock , grave , mais surtout froide , m'avait ramener à la réalité , mais sans me laissé le temps de dire quoique ce soit , il répéta alors :

-" T'on prénom "

Et en serrant de plus en plus ça main sur mon cou

c'était la goutte d'eau qui a brisé le peu de patience qui me resté

Je me retiens de pluie ma rentré dans cette ruelle de ne pas faire de crise d'angoisse , je tremble , et je n'arrive pas à respiré , et avec ça main sur mon cou , je sens le trou noir arrivé

Et c'est ce-qu'il ce passe , je détourne mes yeux de ces iris vert pour les fermé , en espérant au plus profond de mon coeur que je n'ai plus jamais à les réouvrir

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Salut j'espère que vous allez bien ?
Et que ce chapitre vous à plût?

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