« Deux âmes ne se rencontrent pas par hasard »

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Je suis obligé de me soumettre a ce monde de con, changer pour exister, pour être accepter.                                                                                          Ne pas montrer son opposition, voila la triste réalité de cette société                                                                                                                              

Hello, Salam les filles j'espère que vous allez bien. Bonne lecture et désolé pour les fautes

J'me fais réveillé en sursaut par mon téléphone qui sonne. C'est qui encore on peut pas dormir en paix. Je voulais même pas répondre, mais n-bon peut être que c'est urgent. Je regarde l'écran c'était Zeinab, je répond tout de suite.

📞Appel téléphonique 📞

Zeinab (en panique + pleure) : Allô, Allô Alniyah il l'on chopé, il l'on chopé... snif... ils sont là...snif...snif...

Moi(affolé je comprend rien à la situation)  : Mais qu'est ce qui se passe calme toi parle doucement. Tu parles de qui ?qui a chopé qui ?

Zeinab (panique +++) : Non mais Ibra ils l'ont chopé

Je cherche même pas au comprendre, je coupe le téléphone, je cours en direction de la chambre de mes frères.

Moi : NAHYL, réveillé toi les policiers ont arrêté Ibra.

Nahyl (voix fatigué) : Hein, quoi, qu'est ce qui ce passe ? qu'est ce que tu raconte ?

Nassim : EH QU'EST CE QUI SE PASSE ARRTEZ DE GUEULER VOUS VOYEZ PAS JE DORS.

Nahyl : Ta race la réveille toi c'est grave ! les keufs ils ont choppé Ibra.

Il répond même pas il se lève d'un trait. Je les attend genre 5 minutes. Après on sort. On arrive, et on voit des policiers, en bas. Je vois plein de gens par le fenêtre c'est un spectacle.

On voit au loin les parents de Zeinab et des policiers qui sorte, ils ont entrain de mettre les menottes à Ibra.

Sa mère derrière n'arrête pas de crier : Lâcher mon fils, attchité mo (en peuhls pour celles qui comprennent). Il a rien fait,c'est quoi ça. S'IL VOUS PLAIT AIDEZ MOI ILS VEULENT ME PRENDRE MON FILS. LACHER LE.... snif... snif..

Je cours vers elle et la prend dans mes bras pour lui dire de ce calmer. Zeinab arrive juste derrière en criant : LACHER LE ?

Policier 1 : "Monsieur Ibrahima Diallo vous état d'arrestation, pour trafic de produit illicites, vous avez le droit de garder le silence, tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous. Vous avez le droit à un avocat, si vous n'en avez pas les moyens un avocat d'office pourra vous être accordé par la cour. si vous ne voulez pas exercer ce droit, c'est tout  fais votre droits.

Zeinab : Mais lâcher le il a rien fait... Ah dégage. Lâcher le... j'ai dit quoi tu veux pas comprendre, j'ai dit enlève lui les menottes. J'te jure je vais te tuer si tu lâche pas mon frère.

Policier : Madame veuillez reculez s'il vous plait, je ne le répèterai pas plusieurs fois. Si vous continuer je serai obliger de vous arrêter pour agression physique envers un officier de police.

Je l'attrape par le bras.

Moi : Zeinab, calme toi c'est pas en criant que tu vas arranger les choses.