Ses lèvres closes, le regard froid,
Provoqua de la douleur chez moi,
Puis un sourire, un sourire sadique,
Effaça tous les moments magiques.
À cet instant, elle faisait peur,
Et cela me brisa le cœur.
Un Être si parfait, si merveilleux,
Était-il en vrai l'opposé du mieux ?
Le temps se figea
Et son corps tomba
Inerte au sol
Je suis donc folle
Je n'y crois pas, je l'ai tué, je l'ai tué !
De mes pâles mains je l'ai poignardé !
J'ai tué, assassiné mon reflet,
Mon histoire est désormais terminée.
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La langue perdue
PoetryQuand la voix n'est plus suffisante, seule la poésie peut remédier aux maux du cœur.