Two Text

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J'avance dans ce couloir, longe les murs, à chaque pas cette sensation qu'ils se rapprochent de moi, me faisant prisonnière.
A chaque pas, je t'imagine sortir de nul part me sauvant de cette enfer de solitude, de cette prison de mur. Tu n'es jamais venu me laissant seule, j'avance toujours, pour toujours.
Je me sens avancer pourtant, à chaque pas, le même paysage, quelques portraits accrocher tout autour de moi, et le néant, le noir puis le blancs, puis toi, ton beau visage, t'es cheveux bruns, tes yeux noisette, tout étais-là, je me suis relevais du sol ou j'étais allongée sur le ventre, et me suis approcher de toi, j'ai tendu la main, puis tu t'es brouillé, je me suis figée, ma main rétractée contre ma poitrine. Tu as disparut, comme tu en a l'habitude.
Un brouillard à commencer à flouter mes yeux, ils se sont brouiller, une larme à couler le long de ma joue, j'ai senti son gout amer quand elle est entrée par ma bouche. 
Je m’endors encore, de nouveau au sol, je ferme les yeux et me sens repartir, je vois une main, ta main, elle est tendu, elle essaye de venir me toucher, j'essaye de rouvrir les yeux pour empêcher le néant m'engloutir, pourtant je disparais te laissant seul.
Je me réveil allongée dans mon lit, en larme, comme hier, avant-hier et les jours précédent, se sera surement de même demain et après-demain et les jours suivant.

τεχτε †Where stories live. Discover now