Je vais mettre dans ce livre comme le nom l'indique toutes mes participations aux concours
Voilà voilà, j'écrirai le nom du concours et le principe si vous voulez participer, voilà bonne lecture!
Voici mon texte de participation au concours de @thebest131104. C'est le concours #2 de son livre, aller y jeter un coup d'œil. C'est ma première participation à un concours donc donner moi vos avis et voter si vous aimer. Merci d'avance!! Bon sur ce je vous laisse avec le texte!
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Et c'est là, que chaque soir je viens te voir. Observant le coucher de soleil, me souvenant. Mon bonheur à moi, c'est nos moments à nous.
« Elisa ? Tu es avec moi ?
- Hein ? Au excuse-moi Joanne... Je pensai à..., sa voie se perdit.
- Oui ?
- Non rien d'important.
- Tu penses encore à ce qu'il s'est passé avec Julian ?
Elisa ne répondit pas.
- Regarde et écoute-moi.
Elle prit les mains de sa meilleure amie dans les siennes, la forçant à la regarder dans les yeux.
- Je sais ce que tu penses, et je te le répète, ce n'est pas de ta faute. Ce qu'il s'est passé, ce qu'il a fait n'a rien à voir avec toi.
Une larme coula sur la joue d'Elisa, Joanne l'essuya de son pouce.
- Tu sais que je suis là pour toi ? Et je serai toujours là pour toi !
- Oui je le sais, répondit-elle d'une petite voie, mais je ne peux pas m'empêcher de me dire que si je...
- Non ! Tais-toi, même si toi et Julian vous vous êtes engueulé avant je suis certaine que ce n'est pas à cause de ça.
- Mais comment tu peux en être sûr ! Tu n'étais pas là quand ça s'est passé ! s'écria t'elle en se levant.
- Non je n'y étais pas et toi non plus !
Élisa recommença à pleurer.
- C'est de ma faute, j'ai perdu l'amour de ma vie ! Et c'et de ma faute !
Joanne prit Élisa dans ses bras pour la réconforter.
- Je... je... s... suis, dé... désolé !! reprit Élisa en pleurant à chaudes larmes, je ne voulais pas te crier dessus...
- Ne t'excuse pas, c'est moi qui devrait m'excuser, je me suis comporté comme une idiote, murmura Joanne d'une voie douce pour rassurer sa meilleure amie.
Elles restèrent là. Dans les bras l'une de l'autre, Joanne calmant les pleurs d'Élisa petit à petit.
A la fin de ce temps qui parut duré une éternité, Joanne relâcha son étreinte en douceur.
- Je suis désolé Élisa, mes parents m'attendent, je dois y aller, on se rejoint ici demain d'accord.
- Oui vas-y, ton père va encore péter un câble sinon, ria Élisa
- Tu m'envoie un message si ça ne va pas ! Et c'est pas une question ! ordonna Joanne à
- Oui maman ! plaisanta la belle brune.
Elles s'embrassèrent et partirent chacune de leur côté, toutes deux soucieuses, inquiètes. Élisa pour le bonheur de Joanne et Joanne pour la vie de famille d'Élisa.
Je m'appelle Joanne, j'ai 17 ans. Il y a 1 an, j'ai rencontré Julian, l'homme de ma vie. Nous étions très soudés, très proches. Nous détestions être loin l'un de l'autre, une seconde sans être ensemble était une seconde de perdu. Notre avenir était tout tracé, on s'aimait à la folie. Aimer est même un verbe trop faible pour prouver ce qu'on ressentait l'un pour l'autre. Il était tous pour moi, j'aurai donné ma vie pour lui. On pouvait passer des heures devant la mer, sur notre petit coin de paradis, les yeux dans les yeux, à se perdre dans le regard de l'autre. Vous devez surement vous demander pourquoi mon récit est au passé. Et bien, nous avons été séparé, involontairement. La mort est arrivée et nous a arraché l'un à l'autre, elle a emporté Julian, me laissant là, désemparé. J'ai pleuré toutes les larmes de mon corps, j'étais inconsolable... Et je le suis toujours...
Lorsque ses parents sont rentré chez eux, ils sont allés dans sa chambre pour voir s'il s'était endormi parce qu'il ne répondait pas à leurs appels. Sa mère la retrouvé dans sa chambre, un couteau ensanglanté parterre avec des taches de sang autour. Lorsqu'elle s'est tournée vers le lit de Julian, il était là, allongé, le visage paisible. Cependant, il était blanc, au contraire de ses poignets, ils étaient rouges, et ses draps tacher de cette même couleur écarlate. Sa mère est descendu le plus vite qu'elle le pouvait, elle a tenté d'expliquer à son mari ce qu'il se passait. A travers les balbutiements de sa femme, il a senti que quelque chose était arrivé à son fils, un mélange d'appréhension et de peur s'était emparé de lui lorsqu'il avait appelé les pompiers m'a-t-il dit.
A peine avait-il raccroché qu'il m'a appelé pour me prévenir. Je me suis rendu chez eux le plus vite possible. Lorsque je suis arrivé, les pompiers étaient déjà là. Je me suis directement dirigé vers les parents de Julian, ils étaient en pleurs tous les deux. Ils n'ont même pas eu besoin de parler, quand je leur ai demandé ce qu'il se passait, ils ont hocher la tête en signe de dénégation. Je ne voulais pas y croire, je suis allé dans sa chambre en me disant que tout ça n'était pas réel et qu'il m'attendrait dans sa chambre, sur son lit. Mais quand je suis arrivé, je n'ai vu que ses draps et le sol recouvert de sang. Je me suis rendu à son bureau et j'y ai vu une lettre portant mon nom. Je l'ai ouvert et y ai lus ceci :
« Cher Joanne,
Ma chérie, pardon. Pardon pour tout ce que je t'ai fait, pour le mal que je t'ai fait, tous. Je t'aime et je regrette tous ce que t'ai dits en mal. Ce n'est pas de ta faute, sache-le. Te dire adieu ce n'est pas te quitter... te dire adieu c'est une promesse de te retrouver... Nous nous somme aimés avec passion, intensité et respect, et c'est avec cette même passion, cette même intensité et se même respect que je t'aime, encore aujourd'hui de là ou je suis. Rien ne pourra effacer ce qui existé entre nous, ce qui existe encore à l'heure où je t'écris cette lettre. Tu as été pour moi une joie, un bonheur, une relation inespéré, je garde de toi mes plus beau souvenirs, tu resteras dans mon cœur à jamais, jusqu'au dernier de mes soupirs et même au-delà.
Je t'aime Joanne,
Julian »
- Je relis cette lettre, tous les soirs, devant notre coin de paradis, et si tu me voie ou tu m'entends Julian, sache que moi aussi je t'aime et bien plus qu'on a pus ce le dire. Tu me manque terriblement et je ne peux m'empêcher de penser à nos moments, devant la mère, nos pique-nique en amoureux... Je t'aime Julian...
Et c'est là, que chaque soir je viens te voir. Observant le coucher de soleil, me souvenant. Mon bonheur à moi, c'est nos moments à nous.
Fin
Voilà c'était mon texte alors oui il est pas très joyeux mais bon... C'est tout bonne journée/soirée/nuit !
