Qui a dit qu'un vampire n'avait aucun sentiment... Jimin est un "jeune" vampire très séduisant qui a pour habitude d'obtenir tout ce qu'il désir...
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• Voici ma 3ème FF, soyez indulgent je suis encore débutante...
Le temps d'un instant là douleurs que te procuraient tes talons disparaît. Un bras enroulé sur ta taille et une main te tenant fermement au bas ventre, ton corps ne sentit plus que la pression qu'exerçait le jeûne homme sur ton corps.
Il saute de nouveau d'arbre en arbre puis de toit en toit. Bien évidemment, il n'ouvrit pas la bouche pendant le trajet.
Néanmoins tu le trouvais séduisant. Son allure tenace ainsi que ses cheveux Blond légèrement éclairés par la lumière de l'aube lui donnant cette teinte rousse, le rendait encore plus irrésistible qu'il ne l'est déjà.
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Mais tu ne voulait toujours pas y pensé. Tu en profite alors pour lui posé cette question qui trotte sur le bout de ta langue. Où allons-nous ?
La réponse ne ce fit pas tout de suite entendre. Mais tu y risque une nouvelle fois de provoquer sa bipolarité. Mais contre tout attente, il finit par répondre.
Rend-moi service.Dit-il toujours de son air neutre.
Malgré le ton menaçant de sa voix rauque, le jeune homme ne prend pas la peine de te regarder.
Tu persiste. La moindre réponse de sa part pourrait, étrangement, te rassuré. Je te demande pardon ?
Un petit bruit lasse à peine audible se fait entendre en provenance de ce dernier, accompagné d'un mouvement de tête, ce basculant de son côté droit avant de revenir vers toi.
En te laissant la vie sauve, je t'ai en quelque sorte rendu service. Maintenant rend-moi service sans discuter.
Son impatience prouve bien qu'il n'était pas habitué à demander quelque chose étant donné qu'il pouvait tout obtenir.
Mais ton instinct de survie te pousse à accepter, quelque soit la demande ainsi que le prix à payé. Te disait-tu.
*** Il ne vous faut qu'une vingtaine de minute pour arriver dans ce qui ressemble à un chalet. Malgré l'aspect miteux des alentours, le chalet, lui, est moderne semblable à une rose planté au beau milieu d'une forêt où seul des arbres sauvages y sont dressés.
C'est toujours, dans le bras du jeune homme ainsi que tes souliers à la main que vous avanciez.
Le silence qui a pour habitude de renier entre vous ce fut couper par tes gémissement de douleurs.
La vue qui s'offre devant toi est telle surprenante que tu en oublie d'enfiler tes talonnettes que t'a ordonné de porter le jeune homme plus tôt. Une incapable. Gronde-t'il. Qu'attends-tu pour mettre ces chaussures ?! Ajoute-t-il impatient.
Malgré la rage de ne pas pouvoir le remettre sur place, bouillonne en toi, tu garde en tête de faire profile bas et te pose sur une des nombreuses marche fait de marbre du chalet.
