La salle était grande.
Bondé de monde.
Éclairé d'une faible lumière tamisée.
Les gens étaient élégants, classe, charmeur dans leurs façon de se vêtir.
Une coupe de champagne ou d'eau finement pétillante dans les mains.
Et au milieu de ses murmures et ses rires.
La musique résonné dans la pièce.
Douce et gracieuse.
Le genre de musique qui emmène chacun à chercher un cavalier ou une cavalière pour un slow.
Un slow langoureux et romantique.
Mais au milieu de tous ce beau monde.
Il était difficile de trouver son partenaire de danses.
Toutes les belles femmes avaient les mains prises.
C'était un peu honteux, voir humiliant de rester sur le côté de la piste de danses sans cavalier ou cavalière.
J'ai tourné mon regard un moment avant de croisé deux hommes danser
L'un avait les cheveux rouge, il semblait affreusement petit à coté de son cavalier au cheveux noir corbeau.
Le genre de gars que toute les femmes du gala ce serait arracher les cheveux pour une danses avec lui.
En tournant encore le regard un vieil homme danser visiblement avec sa femme mais ne cessé de jeter un coup à une femme plus jeune.
Tous le monde dansait sans que je ne trouve une personne pour danser.
Cela devenait urgent. J'étais entrain de m'humilier sur place.
Homme ou femme même chien, j'était prêt à prendre pour ne plus me sentir aussi souiller de honte.
J'ai tourné le regard au milieu de cette grande salle, bondé de monde.
On pourrait se perdre au milieu de toute ses paires de jambe.
J'ai croisé ton regard à l'autre bout de la piste.
Tu étais aussi seul que moi.
Ta peau sombre et de long cheveu brun coiffé soigneusement.
Plutôt étonnant qu'un homme comme toi se retrouve seul.
Me direz vous, Comment un homme comme moi ne se soit pas trouvé une gentille et belle cavalière ?
Je me suis frayé un chemin pour te rejoindre.
Essayant de ne pas te perdre de vue au milieu de ce brouillard de gens.
"Bonjour, Jean-pierre Polnareff pour vous servir, seriez-vous libre pour une danse ?"
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