"Dis moi, je t'aime" (TonyXBucky)

Chapitre 6

PDV de Tony :

Ça va faire un quart d'heure, que l'on est face à face, et pour l'instant aucun de nous n'a osé parler. Mais nos regards ne se sont pas lâchés depuis le début. Et d'ailleurs, il a très mauvaise mine on dirait qu'il a pleuré, bu et pas dormi depuis les derniers 24 heures. Ma pauvre gueule d'ange, mon cœur, J'aimerais juste le prendre dans mes bras et lui prendre sa douleur, et pourquoi pas l'embrasser mais je doute qu'il soit d'accords. Et merde, je sens mes larmes arriver et hors de question que je lui donne cette joie.

« Heuu...Gueule d'...Bucky tu veux peut-être boire quelque chose ? »

« Hummm pourquoi pas mais quelque chose de léger par contre. Du type vin... »

« Pas de problème, j'ai ça. » et pendant que je lui sers un verre, je le détail, .... et ça me fait mal de le voir comme ça. Il faut .... Je ne peux pas m'empêcher. « Bucky, je peux te poser une question... s'il te plait ? »

« Je suppose qu'on est là pour ça alors vas-y. Mais te connaissant, tu n'as pas qu'une seule question. »

« Pas faux mais autant y aller. Pourquoi tu m'ignores depuis une semaine ? Qu'est ce qui se passe pour que tu sois dans cette état ? Et ... »

PDV de Bucky :

Ne pas s'énervez, ne pas .... Bon c'est foutu je suis énervez.

« Tu oses me poser cette question, mais tu te prends pour qui pour me les posez alors que tout ceci est de ta faute. HEIN, TU TE PRENDS POUR QUI ? Tu veux des réponses ? Pas de problèmes, je vais y répondre. PARCE QUE MERDE A LA FIN ! Je t'ignore depuis une semaine parce que c'est trop compliqué de faire semblant de rein ressentir devant toi. Si je suis dans cet état c'est uniquement parce que je n'arrive plus à dormir et que j'ai dû liquider le stock de vodka de la tout. Et tout ça pourquoi ? Parce que je t'aime, PUTAINT, .... Et que ça fait mal de savoir que ce n'est pas réciproque car après tout qui voudrais de moi ? HEIN QUI ? Je suis qu'un putaint d'assassin, un déchet de la seconde guerre mondiale, un centenaire et surtout je suis un homme ... »

PDV de Tony :

Il l'a dit, il a dit qu'il m'aimait c'est le plus beau jour de ma vie. Et ça fait du bien de le tenir dans mes bras, mais ...mais il pleure. Je le porte et l'allonge sur le canapé avec sa tête sur mes genoux et j'attends qu'il se calme.

« Bucky, est ce que tu es en état et prêt à m'écouter ? »

« Oui, je crois .... mais .... »

« Non, ça suffit tu te tais et tu me laisses parler parce que je n'ai jamais entendu autant de connerie en si peu de temps. Je ne te demande pas et ne souhaite pas que tu fasses semblant avec moi. Ensuite, moi .... Je te veux, je t'aime avec ton passé et ton caractère. Et je m'en contrefiche de ton âge et aussi que tu sois un homme, parce que si t'étais pas au courant je suis gay, triple idiot, et surtout je t'aime ma ... »

Ses...ses lèvres je viens de me faire couper la parole par la plus belle chose du monde. Ses lèvres. Se baiser et juste magique, nos langues qui dansent ensemble, ces mains sur mon cou, c'est juste merveilleux. Et c'est à bout de souffle que l'on se sépare. Je prends le temps de le détailler et de l'admirer.

PDV de Bucky :

« Tony, tu peux me le redire s'il te plait ? »

Je dois être rouge ou même cramoisi, en même temps je ne suis pas habitué à ça.

« Bien sur mon ange, je te le redirais autant de fois qu'il le faut. Je t'aime ma gueule d'ange. »

Je ne peux pas résister et je l'embrasse de nouveaux mais cette fois si notre baiser se fais plus sensuel, plus haletant, ses mains viennent se poser sur mes hanches pour me rapprocher encore plus de lui et il me porte jusqu'à la chambre pendant que nos tee-shirts sont abandonnés sur le chemin.

Putaint que je l'aime ce génie, et c'est le mien. C'est mon homme. Et plus jamais je ne l'abandonnerais.

PDV de Steve :

Il doit être aux alentours de deux heures du matin quand l'on rentre avec le reste du groupe à la tour. Et vu les tee-shirts qui sont par terre et le repas à peine entamé. Je pense qu'on a réussi notre coup. Mais personne ne leur demandera comment c'est passé leur soirée et leurs nuits car elles n'appartiennent qu'a eux.