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.. Malgré cette gêne, en le regardant dans les yeux, je glisse mes doigts sur ses joues et approche mon visage du sien.

Je vais lui donner ce qu'il veut...

Alex :Continue... Touche moi..

Nicolas :  Sois plus polie, je suis ton professeur Alex, me dit t'il en souriant.

Alex:Touchez.. moi encore  s'il vous plaît..

C'est alors qu'il s'empare  de mes lèvres si brusquement que la chaise bascule sur la table derrière moi.

Le baiser d'abord doux  s'intensifie pour devenir ardent , sa langue se créee un chemin entre mes lèvres et il fait lentement onduler son bassin contre le mien.

Nicolas glisse ses mains sur mes fesses pour s'en emparer et me hisse dans ses bras, je me laisse porter jusqu'au bureau et à ce moment nos lèvres se sépare, je sens son souffle contre mes lèvres, j'aime ça..

Il me pose sur le bureau et se met au-dessus de moi mais je me décale et je tends ma main vers son visage, il ferme les yeux, je me rapproche et j'embrasse son cou, il ouvre les yeux, je le regarde, il me regarde,  je sens tout l'amour qu'il porte dans son regard et je crois qu'il pourrait en dire tout autant pour moi.

Alex :Je... je vous aime

Nicolas : J'ai de la chance de t'avoir rencontré ici, je t'aime aussi

Quelques secondes se sont écoulées avant que Nicolas retourne une énième fois nos position et commence une douce torture sur mon cou en aspirant ma peau, ça me fait frissonner.

Il retire mes vêtements, je l'imite, nos corps s'attire l'un vers l'autre, il prend mon
sexe en main , le caresse .

Dans un mouvement un peu aléatoire de son bassin il frotte sa verge contre moi,  je la pris ensuite en  bouche.
Il laissa s'échapper un faible gémissement suite à ça.

Puis le professeur posa ses mains sur mon bassin, me retourna et me  pénétra doucement , ce qui me fit pousser un gémissement.

Nicolas posa sa main sur ma bouche pour éviter que mon gémissement soit entendue.

De là commença une danse, ralentissant nos mouvements, les accélérant, se mordant , se griffant, tout en ce retenant de crier nos plaisirs.

À bien des reprises il me tapa la prostate , je criais un peu plus fort à chaque fois. Ont s'aimait et toute la pièce embaumait notre passion.

Au bout de  longues minutes Nicolas  lâcha un cri plus rauque que les précédents tout en vidant sa semence sur ma bouche.

La notion de temps s'était envolé bien loin mais la sonnerie nous ramena à la réalité.

Il se retira et s'allongea à côté de moi, et chacun essaya de reprendre son souffle.

Alex : Je devrais essayer de me faire coller plus souvent.

Nicolas : Sauf que jai des terminales a côté, va faire ton devoirs petit malin.

Alex: Mais je viens de le faire

Nicolas sourit.

Nicolas : Allez mets toi au travail.

Alex : J'ai le droit de mettre des vêtements pour le faire ?

Nicolas : Ce n'est pas nécessaire, tu peux juste mettre ton boxer...

Ils éclatèrent tous deux de rire en se relevant,  ils étaient heureux et c'était tout...

Fin
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SamediOù les histoires vivent. Découvrez maintenant