Sayonara || One-Shot MHA

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Cette histoire est une histoire assez triste sur un univers alternatif de My Hero Academia. En espérant que ça vous plaises.

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Le soleil se levait à peine dans le ciel, il devait être dans les environs de 5h18 du matin. Dans un maison aux habitudes bruyantes, celle-ci semblait pour ce jour et bien d'autre encore, calme. Le lit du plus jeune habitant était vide, étonnant pour l'heure actuelle, mais pas tant que cela  pour les deux plus âgés qui, à la place de trouver un être endormis, ni trouvèrent que des papiers griffonner, déchirer ou bien froisser, mais surtout des draps vide, dépourvue de chaleur humaine.
En effet, ce lit appartenait à un garçon âgé de 17 ans, et celui-ci ne semblait d'humeur à vouloir s'allonger dans ce lit et y dormir. Plusieurs fois, les parents du garçon avaient tenter de le faire dormir, presque à l'en forcer, mais chaque acte fut vain. Le blond finissait comme chaque soir, ou plutôt chaque matin, assis sur le toit de la maison à observer l'horizon, inhabituellement silencieux.

Aujourd'hui est un jour spécial pour le blond. Spécial est vrais, mais horrible l'est aussi. Généralement, les jours spécial sont lié à des jours heureux, mais cette fois-ci, ce jour-ci est une exception à la règles.
De ces yeux carmins, il fixait longuement le ciel devenant de plus en plus clair, détournant le regard vers son poignet une fois lasser du spectacle. 6h42.
Il allait être en retard en cours, mais depuis quelques temps, il s'en fichait. Il n'était d'ailleurs pas le seul dans cet état en vue du nombre d'élèves de sa classe étant en retard aujourd'hui.
Une nouvelle fois dans la journée, ces yeux carmins se posèrent sur sa montre. 9h16.
Tout les élèves de la salle étaient présent, tous, sauf un.

Aujourd'hui est un jour spécial pour plusieurs personnes en réalité. Ce même spécial que pour le blond colérique qui depuis quelques mois était devenue calme. Cet après-midi, après leur cours du matin, tous devrons se préparer, autant bien mentalement que physiquement parlant. Les heures de cours avaient été long, trop long au goûts de certains. Non pas qu'il se languissait cet après-midi, mais ils pensaient tous qu'une fois ce moment passer, ce moment d'adieu, leur cœurs si meurtris seraient apaiser.

Le blond aux yeux carmins tourna ces yeux vers sa montre pour la vingtième fois depuis le début de la journée. Il était désormais 12h58, l'heure de manger était passer, et pourtant rien n'avait atterrît dans son estomac, comme dans celui de ces deux meilleurs amis qui semblaient jouer la comédie, faire comme si tout allait bien alors que peut importe qui les voyait ainsi, l'inconnu se rendrait rapidement compte que rien ne vas, qu'ils étaient triste, qu'ils étaient vide, que quelqu'un manquait pour eux, et qu'ils mettront du temps à s'en remettre.

- C'est bientôt l'heure, dit le blond explosif sur un ton calme.

- C'est vrai que c'est dans une heure.. Je vais aller me préparer chez moi, on se rejoint là-bas.. disait le faux roux sur un ton qui se voulait rassurant, mais sa voix tremblait, comme s'il allait pleurer alors sa crédibilité avait totalement disparu.

Le deuxième blond secoua sa tête de manière à répondre affirmativement aux mots de son ami, tandis que le garçon aux yeux carmins se contenta de se lever de son siège et marcher en direction de la porte en silence. Ce que les gens n'arrivait pas à savoir, c'est pourquoi cette perte était si importante pour le garçon au point de changer radicalement de comportement. Après tout, au regard des autres, ils n'étaient pas particulièrement proche, même au contraire, c'est à la limite s'ils n'étaient pas des ennemis, et pourtant...

Plusieurs minutes passer, tout les élèves de la classe 1-A, 1-B, ainsi que des adultes se retrouvaient assis sur des sièges, dans un lieu culte, un lieu qu'ils n'auraient jamais pensés s'y retrouver pour ce genre d'événement, du moins pas aussi tôt, et certainement pas pour lui.

Le blond avait pris places devant, tout devant aux côtés de ses parents ainsi qu'aux côtés d'une femme qu'il connaissait très bien. Pendant plusieurs minutes, un homme âgés prenait la parole, puis ce fût au tour de la femme à ses côtés qui avait fini, après quelques minutes, par retourner s'asseoir en larmes. Plusieurs personnes passaient. Ochako, Iida, Shinsou, Toshinori, des gens que le blond ne connaissait pas, puis vint son tour. Les élèves de son lycée semblaient surpris, après tout, pourquoi prenait-il la parole alors qu'ils essaient presque ennemis ?

- Saviez-vous que les étoiles sont fascinantes ?

Un silence de mort fît sa présence dans la salle, tout les yeux étaient fixer sur la blond aux yeux carmins qui semblait bien n'en avoir rien à faire de leur yeux de merlans frit le fixant ainsi.

- Midoriya Izuku à fait son entrer dans ma vie à la fin d'un été comme une étoile qui serait tomber du ciel. J'avais jamais rien vue de pareil alors que nous avions seulement 4 ans. Je n'avais jamais rencontrer quelqu'un comme lui. Il était drôle, intelligent et puis changeant, déstabilisant et.. magnifique. J'étais fou de lui. Je l'aimais tellement et je lui demande tout les jours pourquoi il a fait ce qu'il a fait, et je n'ai aucune réponse. J'ai vu qu'il se renfermait de plus en plus, qu'il s'écartait. J'aurai pu être celui qui l'aide, celui qui lui souris, celui qui lui rappelait à quel point il était génial et important, que ce soit pour moi ou bien pour les autres, mais j'ai préféré l'ignorer, faire comme si de rien n'était. C'était tellement plus simple et tellement stupide de ma part... Je me disais que ce n'était rien, que c'était juste pour rire, mais il s'est suicidé. Un suicide. Il est mort seul tout comme il avait vécu seul. Il avait une mère aimante, des amis géniaux, mais il se sentait constamment seul. Je ne suis pas ici, à son enterrement seulement pour pleurer sa mort, mais pour m'excuser. Pour m'excuser de l'avoir tué, pour m'excuser d'avoir été trop lâche. Je ne suis pas le seul à avoir causer sa mort, mais cela ne m'excuse pas, même au contraire, je suis encore plus coupable et dans tout les cas, mes excuses ne le feront pas vivre à nouveau.

Les gens face à lui semblait choqués, désemparer. Seul les larmes et les reniflements de certains se faisait entendre tandis que le blond se retenait d'éclater.

- Connaissez vous le coup de foudre ? Beaucoup de personne en parlent sans jamais vraiment savoir de quoi il s'agit réellement. Tout le monde parle du coup de foudre mais ils ne disent jamais ce qu'il se passe après. Une fois qu'on à ressenti ça, on se sent différent. On voudrait tout dire, tout expulser mais pourtant tout reste tel un secret. Nous ressentons la peur que ce ne soit pas réciproque et la gêne que cela produirait. Plus les jours passent, plus le silence nous sépare.

Un nouveau silence s'installe. Les yeux carmins du garçon sont levé vers le ciel, un de ces tactique pour ne pas laisser ces larmes s'échaper.

- Mais un jour, tout se brise, tout sort d'une manière si pure et.. c'est là ! C'est là que réellement nos chœurs chantent en harmonie et qu'un lien puissant nous unit. Parler est le plus important car se taire nous fait perdre la personne avec qui on va avancer. Personne n'en parle alors que c'est important parce que quand cette personne part, c'est fini... pour toujours...

Le garçon se frotte avidement les yeux, s'empêchant encore de pleurer.

- Izuku... Je t'aime, et je te laisse t'en aller... Tu vas me manquer et j'espère que là où tu iras, tu trouveras la paix, tu trouveras la sécurité et que là où tu t'en vas maintenant, j'espère, moi, Bakugou Katsuki, il fit une pose, reniflant lourdement tandis qu'il fixait la feuille poser sur le pupitre où il s'appuyait à l'aide de ces mains. J'espère que tu sais que je t'aime et que je suis désolé.

Son discours prit fin sur ces dernière paroles, et tandis qu'il pensait avoir ces émotions en mains, sans aucune raison à part entière, il les lâche. S'accroupissant derrière le pupitre du lieu culte, il laissa aller ces émotions, hurlant de rage, de tristesse et de culpabilité. Il laissa ces larmes couler le long de son visage tandis que des tremblements prenaient tout ces muscles.
Assis sur les sièges, tous pleuraient, les larmes s'échouaient sur leur visages habituellement heureux ou impassible, des gémissements de douleur ou bien des cris accompagnant ceux de l'explosif ce faisaient entendre.

Ce que personne ne savait, et que personne ne saura jamais, c'est qu'Izuku et Katsuki entretenaient une relation. Ils étaient ensemble, cacher mais ensemble. Ils s'aimaient, mais un jour, en pleine disputer, Katsuki avait hurler à Izuku d'aller se suicider si celui-ci n'était pas content de la vie qu'il menait. Le blond n'aurait jamais penser qu'en rentrant chez Izuku, dans sa chambre.. Il n'aurait jamais penser trouver ce garçon qu'il aimait tant, voler en plein milieu de la pièce, aider par une corde accrocher autour de son cou, le teint pâle et les yeux dépourvue de vie.