Commençons ce voyage à mes 19 ans je me souviens de ce jour, où j'ai enfin eu ce que je ne voyais que comme une chimère, un secret de Polichinelle que tout le monde se garder d'en parler.
Je n'avais jamais compris le pouvoir que mon vagin pouvait me donner, la puissance qui s'en dégager et la jouissance qu'il pouvait me procurer. Je l'ai souvent vu comme un animal indomptable, plus j'essayer de l'apprivoiser et plus je ne le comprenais pas.
Il y a quelques années de cela, je m'étais caressée, mais par pure frustration et impatiente, je n'avais ressenti aucun plaisir, je me sentais frigide et exaspère qu'un homme me dirige vers ma propre sexualité. J'avais toujours était quelqu'un de cérébrale ,qui était logique, et le corps se devait de l'être, il devait fonctionner à ma guise sous mes doigts et mes caresses, mais ou est la logique quand le feu qui envahit mon entrecuisse transcendent sur ma raison.
Et une nuit l'envie venue, cette envie de me caresser après tout, j'avais approché l'orgasme avec mes partenaires pourquoi je ne pourrais y arriver seule ? Pourquoi était ce si complique au point que mon corps, soit devenue l'ennemie de ma quête.
Je me suis mise à la tâche, allonger sur mon lit, les jambes écartées devant un miroir, j'avais besoin de regarder,besoin de voir ,d'ou venais mes sensations,ce qui pouvait m'amener a ce putain d'orgasme.
J'ai d'abord étudié ma chatte, je l'observai avec passion cette petite partie refermer un secret et je m'attelle a le découvrir. Si mignonne soit elle, il faut que j'apprenne, a différencier chaque partie, à voir là ou c'était le plus sensible.. Je voulais prendre mon temps, le temps de découvrir mon corps, ces parties qui pouvaient me faire vibrer, mes tétons devenant plus durs, je les caresse, j'en voulais plus.Et qu'elle fut mon étonnement de voir, que la partie la plus sensible était celle qui pour moi était la plus insignifiante mon clito.
Une main sur un sein l'autre se dirigeant doucement vers cette chatte charnue et capricieuse, qui ne voulait pas que je la dompte. Et la, je me relève m'observant face à ce miroir, face à moi-même est mes désirs insoupçonné,voir inavouable. Mes yeux grands ouvert, je ne voulais pas rater quoi que ce soit. Je voulais voir mes jambes trembles a mesure que mon souffle se faisait plus rapide. Je me regardais et j'étais face à mon désir, ma perversité, et ma sensualité, je me mis à penser qu'elle douce chienne fait tu Layla.
Tu es si proche écoute ton corps et laisse toi embarque par cette mystérieuse vague, celle que tu ressens qui commence à tes pieds ,qui remontent doucement tâtonnant tes cuisses, et fait durcir tes seins et ton clitoris. Et la je me sens emporte comme sorti de mon corps il n'y a plus rien a faire que de lâché prise, mes jambes voulant se resserre je me tords a l'approche de l'orgasme ,mon souffle haletant , mes doigts s'agitant sur mon clito plus rien ne peut m'empêcher de l'atteindre.
ET le voici enfin plus beau que dans mes fantasme, mon corps se fige retenue par cette petite mort .Je me laisse submerge au point de m'y perdre, je l'ai tellement cherche, désirée ce fameux orgasme pourquoi fallait il qu'il ne dure que l'espace de quelques secondes. J'en voulais encore tel une femme assoiffe en plein désert, je désiré mon désir.
Comment oublie cette nuit, rien que d'y penser, j'en mouille encore, mais vous allez vous rendre compte que cette nuit fut pour moi la première étape d'une quête vers ma sexualité .Le voyage que nous nous apprêtons à entreprendre vous donnera chaud et je vous l'assure vous en voudrais encore prêt Alors prêt a un nouveau chapitre ...
VOUS LISEZ
journal d'une femme libre
General FictionHistoire imaginaire sortie tout droit de mes fantasmes. Je vous présente mon alter-ego Layla, belle brune , qui n'a aucun scrupule en matière de sexualité.Elle est curieuse et aime pousser ses limites jusqu'à l'orgasme.