l'avanture

Partie 1

Avant de commencer je tiens à vous dis que ceux ci n'est pas vraiment une histoire que j'ai vécu en tant que telle c'est une imagination

J'ai rencontré pascaline à la clinique où je me reposais. Elle était encore jeune et pourtant déjà veuve et cherchait une aventure d'un soir pouvant éventuellement aboutir et déboucher sur une véritable relation sérieuse et durable si le courant passait entre elle et un éventuel postulant. Pascaline n'avait pas d'enfant et se trouvait en mal de maternité. Elle souhaitait ardemment avoir au moins un enfant qu'elle aurait accepté comme une bénédiction du ciel, son rêve secret étant de voir s'arrondir son ventre et s'épanouir sa poitrine au fil des mois.
Au point de départ de notre rencontre je voyais quelquefois pascaline sur la terrasse où elle descendait prendre l'air et fumer une cigarette de temps en temps. Elle était toujours seule et ne parlait à personne. Un soir, pourtant j'ai entamé la conversation

avec elle et nous avons discuté un moment. Je sentais qu'elle avait grand besoin de parler et je l'ai écoutée me raconter un peu sa vie. J'appris ainsi qu'elle avait 25 ans et qu'elle était célibataire depuis 2 ans.
parla ainsi durant plus d'une heure puis elle me quitta pour rejoindre sa chambre non sans m'avoir embrassé presque amoureusement. Nous avions pris l'habitude de nous retrouver sur la terrasse le soir, vers 22 heures pour parler de tout et de rien. Le courant passait bien entre nous et au fil du temps nos fauteuils se rapprochait de plus en plus. Un soir, alors qu'elle quittait la clinique le lendemain pour rejoindre une maison de repos elle colla son fauteuil contre le mien et alors qu'elle continuait de parler je posai délicatement ma main gauche sur son genoux droit et je commençai à le caresser. Elle se rapprocha de mon corps et nos visages se touchaient presque. Je la regardais alors dans les yeux et nos lèvres se collèrent sur un baiser au goût désespéré puisque le lendemain elle devait partir. Nos langues dansaient un ballet nerveux pendant que je passais une main entre ses cuisses et remontais lentement vers l'élastique de sa culotte.
Elle n'opposa aucune résistance lorsque ma main passa sous sa culotte pour explorer son bien le plus
😂précieux et elle me facilita même la chose en avançant ses fesses sur son fauteuil et en écartant ses cuisses. Elle avait passé elle aussi une main sous la ceinture de mon pantalon et l'avait glissé sous mon caleçon en direction de mon sexe puis avait malaxé et trituré mon gland qui avait grossi assez rapidement. Lorsqu'elle le sentit à point elle commença alors à aller et venir verticalement le long de mon sexe qui se mit à grossir et durcir. Elle était remarquablement habile de ses doigts.
Je la désirais soudainement et j'avais envie de la pénétrer pendant que les doigts de ma main gauche étaient maintenant dans la place, posés sur son intimité chaude et caressaient ses lèvres intimes. Elle gémissait et prononça mon prénom lorsque mon
index pénétra son four. Elle mouillait beaucoup et je n'eus aucun mal à trouver son bouton d'amour, déjà gonflé. Elle accompagnait mes caresses en oscillant du bassin
et gémissait de plus en plus fort à tel point que j'ai eu peur que quelqu'un, attiré par le bruit nous surprenne sur la terrasse en pleine action. Il fallait faire vite aussi je me plaçais entre ses cuisses et je baissai mon pantalon et mon caleçon.
Mon sexe, durci par sa caresse diabolique se dressait. Il m'était impossible dans la situation

présente de la pénétrer aussi je lui offris de prendre mon sexe en bouche. Elle me fit alors une fellation appuyée pendant que j'enfonçais trois doigts dans sa moule. Je mis mes doigts en branle pour la faire venir. Elle me fit monter aussi assez rapidement et lorsque je sentis que j'arrivais je retirai de sa bouche mon sexe humide de sa salive et je le pris en main pour gicler sur ses cuisses et sa moule offerte.
Je lui lâchai une giclée qui atterrit sur ses cuisses. Elle prit ma liqueur au bout de son index et se mit à astiquer son bouton avec cet onguent ce qui lui procura une bruyante jouissance. Cette jouissance était très forte en apparence. Son corps était cambré sur son fauteuil puis se relâcha. Elle était à bout de souffle tout comme moi.