Partie2

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Je l’ai rappelé en fin d’après midi pour lui dire que j’étais bien rentré. Elle était heureuse de m’entendre et me dit qu’elle avait beaucoup aimé faire l’amour avec moi. Elle me proposa de revenir le lendemain mais n’étant pas disponible je déclinai l’invitation. Elle sembla déçue mais je lui expliquai que je reviendrai dans deux jours, pour passer le weekend avec elle et j’ajoutai que je viendrais avec une surprise puis je raccrochai. 

Je rappelai pascaline dans la soirée. Elle était couchée et se reposait. Je lui demandai comment elle était vêtue. Elle me dit qu’elle n’avait que son string sur elle. Je lui demandai sur un ton ne souffrant pas la désobéissance de se caresser les seins, j’avais envie de l’entendre gémir sous les caresses qu’elle allait s’auto administrerselon mes désirs. Elle se caressa sans retenue et je l’encourageai alors qu’elle commençait à soupirer doucement. Je lui demandai alors qu’elle continuait à se caresser si ses bourgeons pointaient. Elle me répondit « oui junior, ils sont tout 
durs » Je lui ai alors demandé de les pincer d’un coup sec à tour de rôle. Un « ouh » langoureux et sonore se fit entendre dans l’écouteur de mon portable. Je lui demandai ensuite de descendre sa main droite sur son ventre, ce qu’elle fit, puis je lui ordonnai de passer sa main sous son string et de caresser son intimité. Je savais que sa jouissance allait venir assez rapidement. Je lui demandai maintenant de me faire entendre le bruit de sa chatte mouillée aux prises avec ses doigts en approchant son portable de son intimité, c’est ce qu’elle fit et j’entendis ainsi ses 
doigts entrer et sortir de sa chatte émettant des bruits excitants et évocateurs. Je la sentais inondée et prête à exploser sa liqueur d’amour sur ses doigts. Je lui demandai d’accélérer la cadence de ses va-et-vient. Pour toute réponse j’eus droit à 
un « oh, junior » langoureux suivi de gémissements, de petits cris et des 
halètements de sa respiration. Elle était dans la jouissance et de l’entendre ainsi jouir 
sans retenue généra de fortes pulsions dans ma libido. Je l’ai rappelée deux jours plus tard pour prendre de ses nouvelles et sous un 
prétexte fallacieux je lui dit qu’elle n’avait pas été sage et m’avait désobéi. Elle 
méritait donc en conséquence d’être punie et pour la punir j’allais l’initier aux joies du lavement. Elle me répondit qu’elle ne voulait pas ; j’ai insisté en lui disant que de toute façon étant son armant c’est moi qui décidais ce qui était bien pour elle et 
d’ajouter que puisqu’elle ne voulait pas obéir elle aurait droit non pas à une mais à deux injections de ma poire d’amour tout au fond de ses entrailles puis j’ajoutai, pour 
finir de la convaincre de ma décision que je n’hésiterais pas à l’attacher s’il le fallait car j’avais décidé de toute façon qu’elle recevrai deux poires d’amour dans son joli petit cul puis je raccrochai en ne lui laissant pas le temps de protester. 

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