CERCLE VICIEUX

Chapitre IV: la CHUTE.

Alors ... Angela et Stephen se mettent à travailler, ils travaillent .. ça marche . Ils font les examens et valident tous les trois 
Annabelle est fier de son mec et son mec est fier d’Angela car elle a bien assimilée les cours qu’il lui donnait.
C’est donc la fin du premier semestre, tout est donc bon pour une fin heureuse.
La vie reprend son cours les tourtereaux revivent leur amour ..
Angela elle, fait toujours la désintéressée.
Les jours passent ...
puis vint alors de nouveau la période des examens du second et denier semestre.
Angela et Stephen remettent ça , ils reprennent à travailler ensemble, seulement après les coups de main se sont transformés en coup de reins et pas qu’une seule fois .
Comme les choses ne restent pas longtemps dans l’ombre, Annabelle a eu vent de l’histoire par des copines qu’elles avaient en commun Angela et elle .
Ne voulant pas y croire, elle a jugé bon d’aller en parler directement à Angela.
Mais a sa grande surprise Angela ne cherche même pas à nier au contraire elle assume pleinement et la nargue même .

-angie: Ma pauvre Annabelle tu pensais vraiment qu’entre Stephen et toi c’était le grand amour ? Mais tu te trompe depuis le début ma chérie Steph ne t’aime pas et il ne t’aimera jamais.
Ce n’était qu’un coup monté que j’ai moi même orchestrée avec Steph, le but étant de te faire tomber amoureuse puis te laisser tomber comme une vulgaire chaussette mais comme t’es pas si bête que ça tu l’as découvert avant.

-Annabelle : Angela je n’arrive pas à croire ce que j’entends sortir de ta bouche , je vois tes lèvres bouger mais je ne comprends rien , elle fond en larme.

-angie: c’est pas tout j’ai une Autre chose à t’avouer dit Angela.

-Anna:à ce stade je ne vois pas ce que tu pourrais dire de plus tu m’as déjà tout prit.

-angie: détrompe toi petite princesse ce n’est pas tout , sache que Steph et moi sommes atteints du VIH.

Après cette phrase lugubre et sinistre ce qui s’en suivit furent uniquement : pleures, grincements de dents puis évanouissement, et dans cet ordre.
La vérité était révélée, le mal était fait, le vin était tiré fallait donc le boire.
Mais détrompez vous, ce n’était que l’arbre qui cachait la forêt.