PROBLÈME DE RICHE ou presque...

chapitre 4

 
Il est 1h30 du matin tout le monde est sensé dormir a cette heures tardive.

Je suis déjà en retard.

Ma chambre est au deuxième étage et il n'y a pas d'arbre a ma fenêtre comme dans les films donc je suis obligé de descendre et de sortir par la porte d'entrée, le plus discrètement possible et sans faire de bruit.
 
*Le soir même*

Je ne peux pas m’empêcher de réfléchir il faut que je trouve un plan pour sortir de chez moi, bien sûr que je veux retrouver Bryan et savoir ce qui lui est arrivé même si ca me fait peur d’une certaine façon.

*1h30 du matin*

Tout le monde est sensé dormir à cette heure tardive et je suis déjà en retard, j’ai pris trop de temps à réfléchir.

Je ne vois qu’une seule solution, j’ai donc attendu que tout le monde dorme pour pourvoir m’échapper discrètement.

Ma chambre est au deuxième étage et il n'y a pas d'arbre à ma fenêtre comme dans les films donc je suis obligé de descendre et de sortir par la porte d'entrée, le plus discrètement possible et sans faire de bruit ou qu’on me voit.

Je sors de ma chambre, vérifie qu'il n'y a personne, descend les escaliers de la manière la plus délicate possible, alors que je me dirigeais vers la porte, quelqu'un sort de la cuisine, se retrouve face à moi et me dit :

Evan : Qu'est-ce que tu mijote ?

Moi : Et toi ?

Evan : J'avais soif... Attend tu voulais sortir en douce ?

Moi : Peut-être… malheureusement tu ne le sauras jamais.

Evan : Je peux venir ?

Moi : Dans tes rêves.

Evan (fier de lui) : Donc j’avais raison, tu sors où ?

Moi : Non c'est un truc privé et personnel que je dois régler.

Evan : Ha je vois tu vas rejoindre un mec.

Moi : Quoi ? Oui, fin non, je n’ai pas…

Evan (séducteur) : Je voulais juste savoir si t’avait déjà quelqu’un…

Moi : Mais pourquoi je suis toujours en train de te parler moi ?

Evan : Parce que je suis irrésistible.

Moi : Dans tes rêves toujours !

J'aime bien le taquiner et il a rigolé donc j'imagine que ça veut dire qu'il aime bien notre petit jeu.

Moi : Couvre-moi, Evan ! Promis, je te le revaudrai.

Evan : Pourquoi je n’arrive pas à te dire non ?

Moi (en l’imitant) : Parce que je suis irrésistible.

Quand j'ai dit ça il a fait un grand sourire, comme moi pour être honnête. J'aime bien parler avec lui c'est le seul sur cette île qui n'aborde pas le sujet « Bryan » avec moi. Ça me fait du bien.

Moi : Bon allé bisous, j’espère que je ne vais pas trop te manquer !

Et je m'en vais avant même qu'il n’ait pu répondre j'aime bien faire ça. Avoir le dernier mot, ne pas laisser le temps de répliquer et avoir tout le contrôle de tous les propos ca donne une forme de pouvoir d’une certaine façon.

*1h50*

Ils étaient déjà tous là et ont sursauté quand je suis arrivée, ça c’est une entrée !

Ali : Maddie ? C’est toi ? Il était temps…

*2h26*

Après plus d'une dizaine de minutes à chercher… on ne sait même pas ce qu'on est sensé trouver, il n’y a probablement rien à trouver d’ailleurs, toute cette histoire n’a aucun sens, ce serait trop beau que nous, cinq adolescents, on trouve quelque chose, un indice d’ont la police seraient passé à côté et qui permettrait de nous disculper ou même de savoir ce qui s’est passé et de le retrouvé.

Tout le monde était silencieux et dans son coin jusqu'à ce que Alisson demande :

Alisson : Qu'est-ce qu'on cherche au juste ?

Ian : Un moyen de savoir ce qui est arrivée à Bryan.

Moi : En tout cas, on ne trouve rien !

Alex : Vous pensez vraiment qu'il y a quelques choses a trouvé ici qui nous dira où est Bryan et ce qu'il lui est arrivé ?

Moi : On n’a pas vraiment d'autres pistes...

Alex : S’il y avait vraiment quelque chose vous ne croyez pas que la police l'aurait déjà trouvé, ils ont déjà fouillé cet endroit, plusieurs fois même !

Ian : Oui mais on est ses potes, si quelqu'un peut découvrir ce qui s'est passé c'est bien nous. Il a même peut-être laissé quelques indices qu'on serait les seul à comprendre ou un truc du genre.

Ali : Mais... Maddie, on a le droit d’être là ? On n’est pas sur une scène de crimes ?

Avant même que j’ai le temps de lui répondre, une voix grave qui semble appartenir à un homme, sortie de nulle part répond à ma place.

? : Si, c’est une scène de crime jusqu’à ce que quelqu’un prouve le contraire, vous allez devoir me suivre tous les quatre !

On s'est tous retourné vers l'endroit d'où provenait la voix qu'on venait d'entendre.

C'était...un policier, le shérif Spencer pour être exacte.
Génial il manquait plus que ça. Notée mon ironie.

Maintenant on va devoir aller au poste de police et trouver une explication de notre présence sur cette plage, dernier endroit où on a vu notre ami en vie, a une heure pareille en plus.